Eh oui, Baubaude était de la partie aujourd’hui.
Lui, venait de Berlin sur Saône, Ale partait pour la Spezia.
Il purent ainsi échanger sur leurs pratiques linguistiques et de leurs techniques de séduction sauvages.
La neige tombait dehors, mais nos cœurs restaient tièdes et humides.
Ale a conjuré le sort avec un peu d’étain, quelques bonnes idées et beaucoup de persévérance.
Les petites maisons hantées commandées pour cette expo de région parisienne seront sonorisées, clignotantes et mouvantes.
Olive n’est pas venu les mains vides.
Il a décrassé les oreilles de l’assistance avec son bit et son couteau.
Cette fusion du Wawash28.pd et du 2013.pd lui permettra sans doute de réussir ses études électroacoustiques maintenant qu’il a régularisé sa situation financière.
Clique donc sur l’image ci-dessus si tu veux entendre la symphonie.
Sylvain, depuis qu’il a régularisé sa situation financière avec Mackintosh, s’est lancé dans le retransmission vidéo en direct d’un smartphone vers une télévision.
Le théâtre français le remercie d’avance
Mais que pourrait cette débauche d’écran sans ce petit plug à 39,90 euros.
Sylvain n’est pas uniquement omnibusé par les écrans.
Il est aussi féru de cerces, de ponts Stacos et autres PAR automatiques.
C’est sur les terres du 44BZH où il a suivi une formation intensive sur l’art de la GrandMa qu’il est tombé dans cette nouvelle passion.
Camille a présenté la régression de son projet de poupée sonorisée.
Depuis qu’elle a voulu optimiser son montage, plus rien de fonctionne.
Chaque innovation la ramène an arrière par rapport à la croissance mondiale.
Nous l’avons applaudie longuement.
Pas pour la féliciter ou l’humilier mais pour lui donner le courage d’affronter le futur.
Gaziel a présenté sa Fleurpellerin : un support mobile intelligent bourrés de capteurs innovants en symbiose avec la flore qu’il supporte.
#magie
Et comme souvent à cette période de l’année, le Bit de dieu se termine par le déballage du plus lourd cadeau de Noël qu’on a jamais reçu : 185 kilos de bonheur repartis en 2 paquets
Une parfaite intro pour la réunion Opéra de 19h30 et la réunion Chatons de 20h30.
En cadeau pour vous, une aperçu du futur livret :
Bienvenue,
opera-subscribe arobase labomedia point net
Pense à valider ton inscription qui sera peut etre tombée dans tes spams
pour les lowtek : il faut à priori ecrire un mail à opera-subscribe arobase labomedia point net
si ça ne fonctionne pas de toute façon les principales informations et rendez-vous seront diffusées sur les autres canaux (liste de diff-et vraie vie-coincoin-bit de dieu)
une partie de l’aventure peut être delinéariser mais plus nous nous verrons mieux ça sera…
Les questions princeps
LIEU : parking du zenith pour le filage ?
il y a un parking au simply de saint jean de braye vide tous les dimanches…Et c’est vrai que les parkings il y en a plus que d’opera
DATE 2018
BUDGET ZERO EUROS
– Benjamin a écrit à Mme Maupaté pour lui demander la salle de l’institut pour notre opéra en lui expliquant que notre oeuvre se conformera aux codes de l’opera ou de l’opera comique ( shprechen genzang ) et utilisera des instruments electroniques et acoustiques.
Titre : Alice et Bob
Histoire pricipale bien clair + jargonnage informatique poétique (avec sous titre ?) ! conflit ?
3, 4 tableaux/actes au maximum : c’est cool car ça limite la compléxité !
12 scènes maxi : 1 scène 1 idée
Mash up de differentes references.
Tambour avec un singe, pourquoi pas.
Prevoir une semaine de résidence sur le dos de la bete.
Diffuser la modelisation lumière sur Nexus
De la flute enchantée vers des sujets plus contemporains
Des thèmes à aborder : transhumanisme,
Alice et Bob sont deux agents conversationnelles qui ecrivent une lettre à Élisa et qui ne sont finalement qu’une seule et même instance. Ils s’en rendent compte juste à la fin.
Date 8 février pour le « Lac des signes » sur le parking du zénith.
Diffusion finale mai-juin 2017 ?
Date pour atelier d’écriture 23 décembre 10h en physique au 108 1er étage et sinon toute la journée sur le PAD
Proposition lumière :
– l’histoire d’amour des internets
– Voyage au pays de la quatrième dimension (1911) de Gaston de Pawlowski
– Bob & Carol & Ted & Alice, Paul Mazursky, 1969
– 1984 (privation de liberté, surveillance)
– combiner avec un thème d’actualité : plutot utopique, création d’une nouvelle société. les robots au boulot et les humains au bistro
– Demain les chiens, Simak
– Zone du dehors, Damasio (société sur mars controle à l’extrème)
– Age de Cristal, Michael Anderson sorti en 1976. (A VOIR ABSOLUMENT)
– Nouvelles de nul part, William Morris (A LIRE ABSOLUMENT)
– L’absolu de l’absolument
– Jeanne d’arc electrique façon Dysneyparade
– Tommy des Who
– The residents
– Extra tourists
– Zappa : 200 motels, Joe’s garage
l’incroyable Phantom of the paradise meme si totalement daté esthétiquement et musicalement (mais qui dans le port du casque et l’utilisation des synthés à influencé les Daft Punk petit groupe de musique electronique de la fin du 2àeme siècle)
Phantom of the Paradise
– Psychanalyse des contes de fée, Bruno Betelheim (A LIRE ABSOLUMENT en gardant à l’esprit que Bettelheim était un imposteur dont la théorisation (erronée) de l’autisme a ruiné innutilement la vie de milliers de familles) Et bien que ce qu’il en a fait soit discutable, sa théorie demeure fort inspirante, notamment pour un opéra. On n’a qu’à dire qu’on fichera la paix aux autistes, sur ce coup-là.(serait bien que l’inverse soit aussi vrai)
ref betelheim
«
- l’incipit, qui permet d’étudier la façon dont on « entre » dans l’histoire. On sera sensible à la présentation des personnages et à la manière dont les frères Grimm introduisent la relation entre Cendrillon et la mère défunte ; le conte prend ici une dimension plus poétique et plus symbolique avec, en particulier, la requête de Cendrillon auprès de son père (« Père, le premier rameau qui heurtera votre chapeau sur le chemin du retour, cueillez-le pour moi. ») ;
- le merveilleux : on constatera que le personnage de la marraine est remplacé dans le conte de Grimm par l’action des oiseaux et par le pouvoir de l’arbre à souhaits (« Petit arbre, ébranle-toi, agite-toi, jette de l’or et de l’argent sur moi. ») ;
- les relations entre Cendrillon et son père, d’une part, et celles de Cendrillon et sa belle-famille (les deux sœurs et la belle-mère) d’autre part : quels sont les sentiments du père vis-à-vis de sa fille ? Comment comprendre l’épreuve des lentilles (Grimm) ? Interroger la bonté de Cendrillon envers ses sœurs, sa ruse au retour du bal, son pardon final (Perrault)… ;
- la pantoufle : quel est son rôle dans le conte ? En quelle matière est-elle confectionnée ? Comment la perd-elle ? Que font les deux sœurs pour pouvoir la chausser (Grimm) ?
- la situation finale : montrer comment les deux versions s’opposent radicalement.
- Cette étude comparée aiguisera l’attention des élèves lors de leur venue à l’Opéra Comique, car la version de Cain/Massenet joue habilement avec les attendus du conte et s’en démarque à bien des égards.
La mecanique du conte
– L’immortelle mort du monde, Robert Filliou (generateur de performance poétique (Fluxus)
– Mozart joué aux dés.
Un moment oulipesque dans l’opéra
– suivre les liens wikipédia d’opera en opera (simplicité)
– Oulipo (poésie)
– sur-titre participatif (ecueil?)
ecriture assitée par des Bots
un article sur les bots conversationnel. Une option que nous pourrions utiliser pour ecrire le « livret ». car au final il s’agit beaucoup de « conversations » de « dialogue ». Pourrait-être marrant d’esayer
Jeanne d’arc electrique
Jeanne au buffet.
le lac des signes
on attend que l’eau boue
Messe pour un temps reçent
une brève histoire du temps récent
la symphonie des zéros et des uns
wargames
Don quichote
Requiem pour le futur
Requiem pour les temps futurs
un sans espoir une messe d’enterrement pour le futur
Etat d’urgence (out ce n’est pas un titre c’est une Didascalie. vous y pensez vraiment ?)
Y’a quelqu’un ou les toilettes de l’Histoire
Init 0
L’algorithme attendait dans l’escalier.
Explications populaires et autres parfums…
Clic-droit > Révelations
Ce spectacle est boulversant ! Vous n’allez pas en croire vos yeux, surtout à la fin !
Inimagination formatique.
if(âme==12)
Où il ne sera pas question d’Astrologie.
On vous avait pourtant bien dit d’éteindre vos (ordinateurs) portables.
Conditions Générales d’Utilisations Malveillantes.
Les semeurs de fautes de goût.
Syntax Error et la femme de Christine Boutin.
Éternuments récurssifs.
société = new(paradigme);
Le voyage extraordinaire de la barre espace <3
L’acnée USB
La chance aux chaussons aux pommes.
Le voyage au bout de l’ennui
La flûte en chantier (déjà pris, (dommage ?))
Le flux enchanté (génial)<
Inspiration fatale
Humiliation Full HD
Désolé. Ce maux de tête est déjà pris.
Rencontres avec un caractère spécial.
Veuillez remplir le formulaire d’inscription.
Sexe et suicide en bande organisée.
Revue de presse hydrolique.
Le secret d’une maman pour garder les dents blanches.
Cqlère et autres fautes de frappes.
Vous n’auriez pas un tweet, s’il vous plaît ?
Password non valide
Alice et Bob
tout ces titres pourraient au final faire une sorte de poeme si scandé pdt le « pestacle de fin d’année » , il pourrait aussi être chanté si le chant est important pour certains d’entre nous.
- proposition de sous-titre
– Opéra médiocre.(pour l instant c’est ce qu’il faut éviter dans l’idée / question de point de vue, pour moi c’est un objectif et non une fatalité)
– Opéra raté. (on va laisser ça aux critiques, non ? / il n’y a pas de jugment de valeur dans ce « raté ». Une comédie musicale réussie est un Opéra raté et inversement. Comme il n’est pas complètement certain que l’on fasse un Opéra, ce serait dommage de perdre l’appelation pour autant.)
– Tentative salutaire.
– Bonne résolution finale.
– pas de sous titre
– ceci n’est pas un exposé de 5eme, ni une reclame du 20emes siècle
Super idée.. En gros c’est « Romeo et Juliette » disait l’un d’entre vous
Si nous réssissions a déjà faire vivre 2 persos serait enorme car gérer une dramaturgie à plusieurs c’est un très très très gros challenge (ou alors c’est du n’importe quoi ce qui est aussi un gros challenge….) Pourquoi ne pas utliser un classique ou des classiques (libres de droits) pour ecrire les persos ou les trames
une jolie alice elle s’appelle sophia
Cette liste est inspirée de la liste de Bruce Schneier publiée dans Applied Cryptography.
Utilisateurs légitimes
– Alice et Bob (parfois Bernard en français,(plus connu par ses potes sous le sobriquet de Beber)
). En général, Alice veut envoyer un message à Bob.
– Carol (ou Carole en français), est une troisième participante aux échanges cryptés
– Puis, on a souvent Dave, un quatrième participant. Pour aller au-delà, il faudrait utiliser un prénom en « E », mais un risque de confusion existe car cette lettre est celle de l’attaquant le plus courant (voir plus bas).
Dave dans 2001 un chouette perso qui n’était qu »un ordi
Bruce Schneier à trouvé des Primitive_cryptographique et leur noms sont super poétiques
Blowfish
TwoFish
MacGuffin
Yarrow et Fortuna
Skein (hash function)
- Influence dans la culture générale
Le chiffrement Solitaire a été mentionné dans Cryptonomicon de Neal Stephenson sous le nom de Pontifex.
Blowfish est également mentionné dans la 4e saison de la série 24 heures chrono et malgré ce qui est dit dans la série, Blowfish n’est toujours pas cassé à ce jour.
À l’image des Chuck Norris Facts, on trouve aussi les Bruce Schneier Facts, des blagues qui sont l’objet d’un mème sur Internet. Cette reprise, de par les « faits » qu’elle énonce, reste essentiellement limitée aux milieux mathématiques et informatiques
c’est très referencé et et parfait pour un « Opéra » pour la Labomedia. Mais n’oublions pas qu’il aura des novices voir des supers novices de toutes la problematique dans le public. Pour etre compris par tous nous devrons avoir un propos très clair, peut etre meme un peu « didactique mainstream » c’est à dire bien faire comprendre dans le debut de la pièce de quoi il s agit (ou tu du moins que la problematique est été exposée à la fin…Tout l’interet du livret qui permet aussi de comprendre le tout une fois la sceance fini…il peut treès bien etre online)
L’histoire d’amour tout le monde la comprendra. c’est assez universelle
la partie IT sera apparente esthétiquement avec des choix « electo-numerique » evidement…
mais la probelematique autour de « l’encryptement », ses enjeux devront être clairement ennoncés.
Il faut que le spectateur puissent comprendre meme nos Mamans ou Tonton de la campagne qui viendrait faire un tour en ville pour voir le flux enchanté (enfin c’est une option…et l’idée du narrateur pourrait etre une solution basique certe mais efficace en
Narrateur(trice)
nous pourrions imaginer qu’il y ait un narrateur
option 1
Papa Bruce : l’inventeur du concept de Crypto
le mec a sune super voix…son propos est très clair…de grosses punchline…le bemol c’est que c’est en anglais et que nous n’avons pas les droits…
Nous pourions ne vosager de faire une interview du monsieur pour les utilsier ensuite dans la piece…pour avoir un peu plus de details sur nos perso Alice et Bob…
Au final c’est le gepetto de nos pinocchios 🙂
faire un travail de sample d extraits autour de conference de Bruce Schneier
option 2
Bob et ALice (alternativement)
Il qui raconterai les anecdotes plutot que de les jouer…
Assis sur leur chaises ou leur tribune a roulette (un peu comme de condamnés à la perpetuite de l’encodage, preferant se cacher pour vivre heureux.
en gros les moments d’actions seraient dejà passés (j’men souvien comme si c’était hier) et nos deux personnages nous feraient naviguer dans leur memoire online (methode de jumps de lien en lien qui font le texte). Un peu comme si nous racontions ce qu’il se passaient vraiment au moment précis ou nous postions sur FB ou autre microcosme numerique. le gap qu’il y a dans l’expression d’un ressenti en instantané (ses bienfait aussi ), la critque de l’auto-fiction généralisée.
En gros : Par exemple tous les gens persuadés du resultat de l’election americaine qui s’extasiait la vielle presque déjà en train de feter la victoire. Et qui se sont reveillé le lendemain avec une gueule de bois et un président qu’ils n’attendaient pas.
A quel moment de l’encodage du logiciel se deroule notre histoire ?
En gros toute la piece pourrai etre codée…ou la musique pourrait signifier que ce processus est en cours…visuellement aussi d’ailleurs (limite une camera quicapte ce que l’on voit sur scene (ou du hors-champ), images projetées sur un encran après etre passée dans un effet ( un blur ou un glitch qui deviennent plus ou moins intense selon le niveau d’incommuncabilité des protagoniste)
Plus la narration avancerait et plus l’histoire deviendrait claire
plus les elements musicaux et visuels deviendraint complexes (ou l inverse, ou un jeu de pattern sur cette idée…
ex ah enfin ils sont sauvés ils vont pouvoir s’aimer…rebondissement avec l’intervantion d’un autre perosnnage, chacun des uatres personnages etant comme une pertubation…et zoom retour de la distorsion numerique…
ils se perdent…ils s’éloignent…ils ne se comprennent plus…bing retour du glitch)
Car si la solutions est d’encoder de crypter leur echange…plus ils avancent dans leur objectif de devnir totalement illisible, plus il s’encodent,plus ils s’engluent eux meme dans une sorte de bulle qui devient ainsi prison…
Cryptés ca veut dire ne pas etre lisible, presque invisible (si j’ai bien compris) et au final c’est n’être compris par personne, donc isolé…on pourrait aisement partir d’une situetion ou ils sont muets car timides dans leur relations et prudent par rapoort à l’extérieur une courbe ascendante vers une possibilité de communication…pour arriver au climax ou l’on imagine que leur histoire est possible. Mais comme dans Alien ils portent en eux leur incapacité à communiquer…ils finissent par se perdrent dans le Flux Enchanté…)
alors a la fin oui ils sont heureux sauvés mais qu’est ce qu’il s’ennuyent dans leur bulle….
ou bien doutant l’un de l’uatre decide de larguer la clé à tout jamais pour rester dans leur univers (ca c’est bien bien drama-queen)
THEMATIQUE NARRATION
L’histoire de Alice et Bob
AU final ca pourrait simplement etre l’explosion d’un couple…de la difficulte à vivre avec l’autre…de la condition humaine sans le parfum disney ni les coupables tout trouvés de la silicon valley.
L’hsitoire d’amour de deux humains, qui cherchent en nous narrant leur histoire, à comprendre pourquoi dés les premier emois cette histoire était vouées à l’echec…ils ont choisit de s’isoler en se cachant et ce fut leur perte. Une sorte de Deni de Service Amoureux, l’incapicité à vivre à deux dans les temps récents…
Une ode aux effet ravaheurs du Flux Enchanté
C’est une possibilite d’arc narrative descendant vers une situation ou l’ego des uns entre en conflit avec la parano de l’autre…
D’ailleurs nous pourrions aussi aborder (par un personnage tiers) le fait que parfois l’anoymat n’est pas forcement un bien pour l’humanité (ex le dark web n’est pas forcement utilisé qur par des humanistes…Toute les derives pourraient aussi etre abordés, si l on veut vraiment se la jouer Bradburry
A priori Stiegler n’est pas aprécier par tous mais son discours sur le Pharmakon, fortement inspiré des travaux de Derrida sur la technique, est une bonne source pour illustrer le conflit et les problematique autour de l’utilaition de la technologie. En gros la technologie a la fois medicament et poison…ni vraiment l’un ni totalement l’autre
Le pharmakon (singulier) ou les pharmaka (pluriel)
Chez Homère, le mot pharmakon se rencontre plusieurs fois3. Il peut jouer un rôle positif dans le cas d’Hélène qui cherche à soulager les peines de Télémaque et Ménélas pleurant Ulysse en mélangeant un pharmakon à leur vin, comme elle l’a appris de Polydamna en Égypte. Il est parfois accompagné de l’adjectif kakon quand son rôle est négatif, comme dans le cas de Circé qui souhaite rendre amnésiques les compagnons d’Ulysse et mélange un pharmakon kakon au vin qu’elle leur offre.
Chez Théocrite, Simaitha et sa servante Thestylis, les deux femmes qui mènent un rituel de magie amoureuse ou de sorcellerie dans l’idylle II, sont appelées dans le titre grec de l’idylle pharmakeutriai, c’est-à-dire faiseuses ou utilisatrices de pharmaka, autrement dit pharmaciennes.
Simaitha et sa servante Thestylis pourrait etre les sorcières qui par l’intermédiaire d’un appli de rencontre ont permis à alice et bob de rentrer en contact, mais qui par la multiplicité de leur propositions empeche une communication fluide entre les deux. Alors les tourteraux fuient dans un univers avec moins de propositions, il se parent d’une armures de chiffre qui pourraient les proteger de ses intrusion exterieurs (la on balance autant de perso que nosu voulons)
Simaitha et sa servante Thestylisn (o n’importe quel nom) n’ont pas pour but de leur faire vivre ler amour, ni de le proteger… Leur pouvoir ; faire croire que la vie a deux est possible et en ramasser un maximun de fruit (en multipliant les inputs. Jouant sur le besoin des humains a se regrouper, ayant couper tout autre moyen de rentrer en interaction autrement…Ainsi les personnages de cet univers, en dehors de toute Tekne restent avant tout esclave de leur propre desir, oubliant l’autre et aisni incapable de rencontrer l’ame soeur. Elle existe mais c’est comme une sorte de frankenstein numerique, un collage fantasmé…
Pourquoi choisir Bob alors que John vient de me liker
Comment etre sur qu’Alice aimera ce que je suis…aller je mens sur ce que je suis…et
ca provoque la perte
Un site de rencontre ou une plate forme sociale (c’est un peu similaire au final les deux
jouent sur nos pulsions primaires voir primitives) est une jolie prison…
Ou trouve-t-on la clé qui leve l’encryptation ? dans leur coeur ? dans leur tete ? dans une ligne de code ? au final elle est facilement trouvable si lon veut percer le cadenas…Je n’y connais rien mais dans l’idée un peu comme la grande bibliotheque de Borges (dont nous parlions il y a peu)…un code peut etre percé comme ous les livres peuvent être écrit…Par contre d’un point de vue humain impossible de lire tous les livres et de décodés tous lesmesasges…
aucun code ne peut resister indefiniment…d’un point de vue humain ca compte d’un point de vue machine est-ce important le temps ? (aucune reponse mais au final ca ne serait pas qu’un mirage spatio temporel ? Dis Papa c’est quoi la réalité ?)
ca me fait penser cet histoire d’encryptation au ceinture de chasteté…bien médieval et à la fois tellement intemporelle…
Qui cache quoi à qui pourquoi ?
Est-ce que les machines sont le veritable freins à leur echange…n’y a t il pas une partie de programmation educationnel ou sociale qui les emprecherait de vivre leur idylles ?
sans faire l’apologie d’une quelquonque forme de religion technophilique voir transhumaniste…
L’humain dit souvent que ca ne va pas à cause de quelquechoses…aujourdh’ui c’est FB ou Google ou Tinder qui detruisent la douce réalité dans laquelle nous vivions.
Mais, si l’on regarde de plus loin encore, est-ce que le silex avait choisit de vraiment trancher la gorge des premier homo-sapiens…
une sorte de mise en abime et de construit inversé….
Pas du manicheisme en mode block buster avec grand mechant loup et petite gentille vetue de Rouge (pour mieux se camoufler parmi les feuilles)
Et si ils reussissaient à vivre leur histoire ?
Ne chiffreraient ils pas encore leur echange avec l’exterieur?
Soit Bruce Schneier Himself qui parlerait et presenterait les stades de l’histoire
(car perso je ne connaisssais pas du tout le mec ni son hsitoire et elle est géniale)
Pourrait etre un bon moyen d‘exposer au public les problematiques que vous defendez aux quotidiens, les enjeux…que le message passe
Car quand ca devient trop abstrait , trop technique, trop deconstruit on perd obligatpirement une grosse partie du public…Et …break…petit point histoire….et nosu repartons dans les circonvolutions esthétiques et musicales)
un narrateur pourrait etre une voix de synthése ou une voix simplement humaines preenregistré..
La piece pourrait commencer par un simple ordi dans le noir qui commence à raconter l’histoire
‘Il teait une fois dans une realité loin de notre universer, deux huamins qui s’aimaient. C’etait avant le grand reformatage…il y a bien longtemps de cela »
et ensuite entrerait sur scene Alice et Bob sur leur piédestal à roulette (les statues finiraient par s’animer une fois que la decryptage du code les enchainant sera ouvert)
Car au final deux personnes qui communique en cryptés et qui n’ont pas la clé du code et bien ils ne se comprennent pas;
Adversaires
– Eve Blowfish, une écouteuse externe est une attaquante passive. Tandis qu’elle peut écouter les échanges d’Alice et de Bob, elle ne peut pas les modifier. et ensuite à qui reporte -elle les infos ?
– Mallory TwoFish, est un attaquant actif. Au contraire d’Eve, Mallory peut modifier les messages, substituer les siens, remettre en jeu d’anciens messages, etc. Rendre un système sûr vis-à-vis de Mallory s’avère un problème plus difficile que pour Eve. (ellepourrait devenir une alliée ? trahir sa cause pour faire vivre un amour à Alice et Bob ?)
– Oscar MacGuffin, un opposant (d’alice et bob ?), est habituellement défini comme équivalent à Mallory.
– Trudy, Fortuna une intruse, est plus dangereuse qu’Eve Blowfish mais moins que Mallory car elle ne peut modifier des messages qu’en transit. Bob et Alice devraient idéalement être aptes à détecter de telles modifications, puis soit les ignorer, soit récupérer le message original. Sinon, Trudy peut causer beaucoup de dommages. Il faut noter que si on bloque Eve, Trudy sera bloquée également parce qu’elle ne pourra pas accéder aux messages. (pourquoi rentrerai t elle dans la boucle ? pour quelles raisons ?
Ces personnages pourraient n’apparaitre que par interface interposé si je comprends bien il n’entre en contacte qu’avec les messages d’Alice et Bobleur Flux, mais interviennent-ils physiquement avec nos « heros » ? Le combat se passe dans les ethers du reseau c’est ça ?
Sur scene il n’y a que Alice et Bob ?
Tierces parties
Isaac Skein, un fournisseur d’accès à Internet (« i » de l’anglais Internet Service Provider, ISP).
David Yarrow , le développeur d’un logiciel.
Susie, opératrice d’un serveur (de transit entre Alice et Bob, par exemple).
Isaac Skein (« i » de l’anglais issuer), pour la cryptographie financière, par exemple.
Justin, du système de justice, plus spécifiquement, un avocat. (qui defend quoi ?)
Matilda, une marchande, pour la cryptographie financière ou le commerce électronique, par exemple. (comment interviendrai t elle dans l histoire de ALice et Bob ?)
Isaac Skein, un tiers de confiance neutre, est une version francophone de Trent.
Plod, est un officier de police, de douanes ou de service de renseignements. (sorte de anti-columbo qui finit par faire tomber le couple ? )
Trent, est un arbitre de confiance (« tr » de l’anglais trusted arbitrator), est en quelque sorte un tiers parti neutre dont le rôle exact varie avec le protocole dont il est question.
Vanna, voir Peggy.
Victor, voir Peggy. => Mais où est Peggy ?(voir Vanna et Victor)
Walter, un gardien de prison (lAlice et bob serait emprisonné ? Walter pourrait etre uassi le gardien de la clé ?)
Cette partie des personnages est certaienement interessante dans le processus de l’information. Si je comprends bien, ces personnages sont issus du « protocole » de communication sécurisé (ou un truc dans le genre). En gros il pourrait etre les alliés permettent
Personnages Surréalistes les Deux ex machina
– un drone deguisé en fantome ( ne sait pas si ca peut fonctionenr techniquement mais sceniquement ca peut etre très reussi…droners is it possible ?)
– Bob et ALice petitt sous forme d’hologramme projeté (pour le passé ou le futur des personnages, genre Alice qui a une apparition et parle a son double de quand elle avait 5 ans pour coprendre ce qu’elle a laissé en route…un truc de psychanlayse du « retrouver lenfant qui est en vous)
– Les objets comme personnage: boite de conserve parlante (voir choeur de boite de conserve)
en reference au futuristes italiens
ou de peices animées de tinguely
ou tout objet qui pourrait emettre un son (Un renard electrique qui serait narrateur, un heron empaillé qui ferait le paon, un poisson rouge qui parlerait)
– Big Dada un hypermnesique dont la masse d’infos lui à fait tourner la tete
hyper complexe cette kyrielle de personnages…un gros méchant serait peut etre suffisant
ou alors on attribue un rôle de personnage à chacun, une sorte de cadre large avec
des traits de caractères
des actions a faire
des mots à dire
des notes ou bruits à jouer
et la partition on la compose selon des interactions entre perso autour de cela.
un truc un peu improvisé dans le jeu mais pas totalement non plus.
– Elodie ?
– Datpolitics
– Eric (ecriture-mise en scene-mapping)
– Damien
– Molly (écriture)
– Gaziel
– Guillaume
– Benjamin
– Camille
– simon ( aides à la répetition, prod, compo, chant? )
– Marine ( scénographie, décor , musique, écriture, chant?)
– Philippe ( decor peinture, chant?)
– Florent ( écriture, chant?)
– Olivier (mauvais esprit frappeur, chant?)
– Maxime (spéctateur ?)
- pas très sexy le mot commission, un peu comme aller faire ses courses mais de manière artistiques c’est ça ? Suis persuadé que la reussite du projet tient à ce que nous soyions tous acteurs. de ce que je vois et ce qui corespond plus ou moins a nos profils beaucoup de personnes pour faire des trucs en backstage…ecrire peindre programmé mais peu pour aller sur le devant. Et pense que ca nous fera tous du bien d’y participer en jouant en chantant..
- serait bien que tous ecrivent, tous jouent tous prennent du plaisir et que tous s’y retrouvent, peur que le fonctionnement en commisions ne fasse que des bulles de creativité qui exploseront le jour bien sur quand le rideau se levera…Si nous voulons reussir a faire un opera (ou un travail créatif en commun) il faut que le developpement soit beaucoup plus interactif.
- Perso je ne crois pas à la Taylorisation artistique….Pour un Art Global il faut une créativité englobante….
– Molly
– Gaziel
– Florent
– Marine
-eric
quand est-ce que l’on se trouve un moment pour s’y mettre ?
l’écriture c’est la première pierre…
Composition
– Damien
– Simon
– Camille ? Oui
– Guillaume ?
– Marianne
– Gaziel
– eric
Lutherie 2.0 (sonore et visuelle)
– Marine (destruction de la machine à laver )
– Guillaume ?
– Benjamin ?
– WikikIRC
– Camille veut bien fabriquer des instruments ou en apporter
Casting
il faudra que quelque uns ou une collège ou une commision gère cela.
Nous pourrions ouvrir la pièce à des gens exterieurs avec d’autres OS (musiciens, danseurs, acteurs, et pourqoi pas magiciens)
Instrumentation (orchestre, musicien, programateur, bidouille)
– Damien
– simon
– Camille ? oui, voir plus haut
– Guillaume
– Marianne
– Gaziel
– Eric
orchestre de la ville
musicien du conservatoire
y a t il des droneurs certifiés dans l’assistance ? Gaziel
Un drone avec un drap ferait un parfait fantome
Chant
– Gaziel
– simon
– Eric
– Ils nous faut des humains vivants sur scene, comme dans un joli laboratoire à ciel ouvert.
C‘est imperatif pour avoir un discours critique sur les nouvelles technologies…
Nous pourrions créer un choeur idealement il faudrait que chacun de nous disent un mot ou un son (option d’etre deguisé ou masquée est possible)
pourquoi ne pas ouvrir et allez chercher des chanteurs ailleurs si nous ne trouvons personne d’autre.
– une classe de maternelle (maternelle peut etre ^rimaire plutot) qui voudrait bien s’integrer sur le projet
– une classe de musique dans le 108
– les petits vieux qui font du tricot à l’entré du 108 ils sont toujours là
Voir faire une sorte de kara-opéra ou les spectateurs fera partie de la création.
Le choeur ca pourrait être les spectateurs
Le bruit aussi…avec des messages envoyés qui ferait basculé la narration de la pièces=> 2 ?
une solution de Adobe pour construire de phrases à partir d’une voix type
un moyen incroyable pour faire scander ou delcamer n’importe quel « texte » par « nimporte qui »
a tester meme si ce n’est pas open-source (il existe peut etre une solution Open)
Une installation avec des masques genre venise où derrière chacun de ces figures de platre seraient planqués un haut parleur qui ne ferait qu’une note (enregistré à l’avance) ou diffuseraient des textes chosis et edites…
ainsi nous aurions une sorte de choeur un peu etrange et carrement cryptique
ca ne ferait pas « Opera de papa » et permettrait de faire passer les messages que l’histoire et le jeu viendraient surligner.
Acteurs / Danseurs / cascadeurs / Dompteur / Animaux
Surtout qui serait prêt à monter sur scene (meme si il n’ y aura peut etre pas de scéne et pourrait etre en demabulatoire selon quelques pistes)
car si il n’y a que 2 chanteurs et 3 musiciens c’est de la musique de chambre que nous ferons
Il y aussi un très bon conservatoire de théatre et un bon centre de danse dans le haut de la rue
une reference Pina Baush par Wenders
(elle est d’ailleurs super cool cette salle et pas loin de Labomedia…la louer pour la fete des zeros et des uns seraient pas geographiquement compatible ?. vois s’associer pour intégrer leur savoir faire scenique ?
Car si on a la zic le texte scandés par des robots ou des samples, il suffirait d’avoir un peu d’impro avec des danseurs pour dynamiser la mise en scene
(car comme la programmation, jouer ou intervenir sur scene que ca ne s’improvise pas en 3 jours je suis bien placé pour le dire ne pratiquant ni l’un ni l’autre)
C’est l’histoire d’un couteau qui rencontre une fourchette, sans voir qu’un verre a demi vide les regarde en souriant. Lorsqu’une petite cuillère tout à coup crie :
A table
Mise en scène
– Marine
-eric
Decors / mapping vidéo
– Philippe
– Eric
– Olivier ?
Costumes
– Marine
– simon
Maquillages/ masques
comment mettre des photos ?
Promotion Com’ evenementiel mediateur Réclame
– Florent
Lumières
il faut trouver qq ? Personne ?
ou une idée simple des neons et de la fumée
–
Sonorisation
– De nos seniors durs de la feuille
– un très bon régisseur-son (c’est la personne qui gère le plateau et les musiciens) car ca va pas etre de la limonade pour que ça soit audible
un régisseur c’est très bien pour gérer la scene et les musiciens c’est evident qu’il nosu en faudra un.
Mais vu la multitude de source de sons, et le caractère improvisé de bcp de partie un VRAI INGENEUR DU SON (mixeur si vous voulez) s’impose…
Ainsi qu’une console 24 pistes pour gerer les differentes soruces et y balancer les effets et faire les depart vers les ordi de genration temps réel (si il y a du budget un minimun c’est un Pro qu’il faut à ce poste)
– Un diffusion facade stéreo ou un système multipoint ? serait top de jouer avec plusieurs enceintes si nous trouvons un maestro de la diff multipoint
un très gros chantier qui sera clé pour un rendu audible
(pas du tout envie de flinguer les oreilles de ma taty du vercors sur un larsen mal controlé par un instruments de notre confection). il y aura peut etre des enfants aussi…
ok pour tout…mais pas pour des akouphenes en fin de representation
– bon, j’ai un diplôme d’ingenieur du son et il a un peu servi. On verra s’il servira encore
Nul en tout
– Gaziel
– Anastasia
– Jonathan
– Eric
Régie générale
Gaziel
Billeterie
Eric
- présents à la réunion du 15 novembre.
– Sylvain
– Philippe
– Jonathan
– Marine
– Damien
– Antoine
– Simon
– Cedric
– Gaziel
– Marianne
– Guillaume
– Florent
– Anastasia
Immersssif et pas frontal? Mnouchkine (1789)
Dans plusieurs lieux.
Le spectateur ne peut pas y echapper. (ce n’est pas de l’art total mais totalitaire dans ce cas là)
Hopital Madeleine Centre de la danse à 300 m du 108 (YEs)? le 108 ?(pour les repettions mais pas vraiment adequate pour ce que nous voulons faire…de sortir de ses murs nous motivera, et surtout le lieu n’est pas du tout adapté…Entre la tireuse à biere et les portes qui claquent vous me direz pour la dimension bruitiste il suffira d’écouter)
Sur smartphone, emetteur FM pirate ( cf : 26000 couverts fausse emission Télé) Piratage d’internet (ca c’est carrement génial il y aussi une très bonne radio sur le campus…elle focntionne et diffuse sur toute la region….allons y…)
Les selfies de larsen 3G (sous copyright)
Decor projeté evolutif avec les pokemons (les pokemons eux c’est dans le script?)
Realité augmentée : comediens nus mais habillés uniquement dans le virtuel
Une approche « collage » serait plus facile à mettre en oeuvre. (Superglue)
- Methodologie de travail envisagée
– Retroplaning : mardi 15 novembre à partir de 18h30 rdv au crédo
prochaine etape : JEUDI 22 DÉCEMBRE
Mail d’invitation : Molly + Benjamin
– lieu : salle de l’institut ?
– dates : fete des 01 ?
Fillage le 9 février (debut mars, fin avril ?)
– atelier d’ecriture ( pourquoi pas un SITA ? )
un sita c’est quoi ? => un atelier autogéré , en general le samedi au 108
il va falloir dans ce cas en prevoir quelques uns des SITA car si on decide d’écrire ca va être très long les amis 🙂 Un peu comme construire un Airbus au 1/1 en allumettes ça c’est une idée
– La recette : une quète + une héroïne + une histoire d’amour + un méchant
c’est la meme que pour faire des crêpes cette recette
opéra du temps récent Save Now
par le StarLab Orchestra
Opera 2.0 : participatif très long
un opéra c’est quoi ?
« Du mot italien » oeuvre « . C’est une représentation chantée, basée sur un livret, avec orchestre, choeurs, solistes de chant et chorégraphies. L’opéra appartient au genre du spectacle parce qu’il se donne dans un théâtre.
Théâtre : du mot grec « théatron-theaomai » : je regarde, je contemple, j’admire.
En très bref résumé, on peut dire que l’opéra est une oeuvre à écouter et à voir.”
Comme un film mais sur scène
Donc en ce qui concerne notre petit spectacle de fin d’année, il va falloir prévoir :
Du temps et un minimun d’organisation (le wiki est parfait pour commencer. d’ailleurs merci)
Une oeuvre musical (c’est un grand mot ou plus simplement une somme de dispositif qui fasse des sons)
Des compositeurs ( la il y a dans l’histoire de la musique notamment contemporaine tellement de forme que chacun pourra ajouter une petite pierre ca fait plouf et c’est une compo)
Un livret donc du texte (et la ça peut être tout ce que l’on veut du manuel de réparation de machine à laver en passant par le contrat d’assurance vie ou juste des 01010111 déclamés à l’infini de la déclaration d’internet ou des poèmes générés par des mots que l’on mettrait dans la machine et serait égrainées grâce à la seedification d’un random…bref tout ce que l’on veut dans un premier temps et ensuite on fera des montages collages et réecriture et organisations en « acte-tableau »pour que la pièce ait un minimum de rythme et de sens, tout le reste c’est pas le plus important mais en minimisant les dégâts on peut faire artifice…si le texte est pourri on est mort)
Un spectacle visuel (du mapping genre des objets lumineux qui réagirait à la musique des robes (pas plus de 15 s) de la lumière bossée en parallèle une sorte de decorum nappe interactive que l’on flasherait sur le decor.
Un lieu (il y a bien sur la salle de l’institut qui peut être cool mais qu’il faudra sonoriser mais me demande si l’astro ne serait pas un meilleur endroit)
Des interprètes (tout le monde qui le veut bien peut etre des automates ou des vidéos voir la partie costume pour les plus timides on sera discret dans nos habits)
Des costumes (a priori avec vos costumes de trappistes on a déjà les choeurs en mode kubrick https://www.youtube.com/watch?v=s_b-zpSnoHs l’idée de faire des masques aussi chacun pourrait design un masque et ainsi même muet des personnages autour d’une thématique ou d’un mot qui nous permettrait d’avoir une cohérence au moins de sens,c ar c’est un peu ça aussi l’espèce de cohésion décousu à tous les etages qui fait l’opéra )
Un orchestre (elle fait du bruit et bien zoom sur scène votre poupée parlante de vos 6 ans, un instrument trouvé sur une brocante vous ne savez pas en jouer parfait, tout ce qui peut émettre un son y compris clavier d’ordinateur. Carsi bien joué et en groupe peut donner un effet carrément dinguo juste par l aspect percussif et rythmique accelrations, crescendo, solos,tutty, cluster de son, des nuages de voix , ce qui serait bien c’est que le clavier ne fasse pas que des sons organiques mais passe ensuite a de la prog machine)
Un décor ( la mapping avec du code genres par des codes qui réagirait ou non à la musique mais aussi tout les trucs que vous avez construit par exemple l’éolienne , les tubes chelou, les ça fait un moment que ‘loin aurait du le jeter)
Proposition pour ELEMENTS
Texte :
un thématique autour du technologique et de sa critique. il faut préciser evidemment.
une bonne source d’inspiration est le nouveau livre d’Eric Sadin
juste des faits déclamés ainsi sur des textes choisis rentrant dans la thématique du “temps récent” par exemple :
n’importe quel simple extrait tiré de ce site peut être des collages également
ou plu ssimplement tapé des extraits dans les écrits et faire des selections qui ont du sens (ou pas)
exemple les freres Grimm
le petit chaperon rouge et autres conte remixé en mode O_1
visuellement en plus c’est très vite reconnaissable
comme les costumes de trappistes sont prêts dans la meme idée du lamento et de la cantonade à l’unisson (pour les plus timides je le répète il y aura des masques
mais il nous faudra d’autres idée d autres perso si vous avez des animaux qui chantent ou jouent des claquettes ils sont les bienvenues
un classique de la musique electro associé à de la danse avec Béjart (une inspiration…et une bonne illustration du trip décousu mais clairement construit de Pierre Henry c’est le maitre, sur les morceaux en question il est associé à Michel Colombier pour le coté pop)
ça peut aussi un orchestre de robot qui émettra des sons en synchrone suis persuadé que vous savez faire ça 🙂
terry riley
pour le multi couche spectral jamais agressif. assez soutenu pour que les notes se mêlent en lasagnes
john cage
4 33 mythique a part que cette fois ci c’est le piano automatique qui prends les choses en main
steve reich
hypnotiques de micro pattern repete et decalé. chaque élément sont “simples”
ravi shankar
dans les choeurs et le côté hypnotique
Plug in Soft
les equivalent opensource du grm ou de l’ircam existe peut etre
pure data
le vocoder de linux: ….
Avis aux codeurs
SSH / CRYPTO LOVE MUSIQUE
Des messages d’amour, ou des informations compromettantes, adressés par le public, ensuite chiffré, dont le fichier texte crypté est ensuite joué (par un piano ?) sur la base d’un code notes-de-musique/texte-chiffré
des messages projetés également avec une sorte d’algo qui les melangerai a la narration pre existante, puisqu’il s’agit de meessage echangé par le couple
Mapping
influences possible :
> miguel chevalier est un peu le michel denisot de l’art numérique ..
oui un peu c’est vrai si tu as d’autres references suis evidement preneur
Si quelqu’un veut s’y coller 🙂
holographic projection
l’opera s’oriente vers uen thematique autour de la sécurité et des cryptogrammes…
apres avoir la conference de Schneier il parle que tout le monde se protege derriere des firewall
en terme de decor ne pourrions nous pas imagnier que les acteurs soient placeé derrire ce fire wall qui traduit devient un mur de feu
visuellement avec un projecteur et des plans tournés d une chenimnée, dun poele ou dans un crematorium. nous aurions un sequence bien chatoyante. (Pourraient aussi etre des flammes CGI generée par des plug comme particular ou houdini)
rt
Technique de composition :
Dodécaphonisme : est une technique de composition musicale imaginée et développée par Arnold Schönberg. Cette technique donne une importance comparable aux douze notes de la gamme chromatique, et évite ainsi toute tonalité. (source https://fr.wikipedia.org/wiki/Dod%C3%A9caphonisme) En gros toutes les notes sont autorisées ce qui faisait au debut du 20eme siecle un truc super nouveau
pour nous :en terme de pratique instrumentale tu peux jouer toute les notes « n importe comment » en tout cas sans te soucier des gammes ( ce qui fait la musicalités, un eimpression de fausse note perpetuelle)
La musique sérielle :
invention de suite de note qui plaise au compositeur un peu point extreme que le dodecaphonisme. Xenakis en est un bon exemple, passionné d architecture et de math il a developppé le concept de Nuage d’orchestre (une sorte de multinotes reparti dans l’orchestre qui donne une couleur evoluant au cours de l apièce). Le cluster (amas de notes ) est utilisé
au niveau de la notation, de la partition, il faisiat des dessin qui ressemble etrangement à un circuit imprimés :
Pour nous ca nous permettra de créer des scipts qui genere de la musique car le monsieur ce les tapait à la main les calculs 🙂
le minimimaliste en musique :
considéré comme l’ancettre de la musique techno il prends c’est source dans des techniques msuiques isssue d’inde ou du moyent orient. un principe de micro patterns repeté en micro varaition rythmique
john cage
4 33 mythique a part que cette fois ci c’est le piano automatique qui prends les choses en main
In C++, En java , Action Scitpt mon amour pourrait etre autant de tableau de « Notre messe des temps présents »
musique spectrale
Cette étiquette sert généralement à désigner des techniques de composition développées principalement par des compositeurs français : Tristan Murail et Gérard Grisey notamment, même si ce dernier s’identifiait peu dans ce terme et aurait préféré le terme de « musique liminale », qui résumait mieux sa pensée du temps musical.(source https://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_spectrale)
(vous noterez la forme des notations totalement inventive)
musique concrète
En gros pour une oreille non averti dans les pièces les moins accesible ce ne sont que du bruit
on la nomme musique electro-accoustique
« l’électroacoustique recouvre l’ensemble des genres musicaux faisant usage de l’électricité dans la conception et la réalisation des œuvres. Ainsi sont électroacoustiques les œuvres permises par l’existence du support du son enregistré (musique concrète, art acousmatique), les œuvres pour instruments ou corps sonores amplifiés (à condition que cette amplification intervienne de manière décisive dans l’esthétique et les choix de composition), les œuvres mixtes (mêlant instruments et pistes sonores diffusées via un support), les œuvres live electronic (pour synthétiseurs en direct, instruments acoustiques avec dispositif de transformation électronique ou numérique en temps réel), les installations sonores interactives, etc.4 »
des sons bruitistes organisé sur des formes classiques
jsuqu’à la musique electronqiue savante
dans la musique concrète un flipper radomisé une balle rebondissante dans un essort salade une corde de piano frappé par un marteau robotisé…Le système de diffusion compte enormement le concert peut etre joué dans le noir pour de la projection mental des images des sons.
Et surotu les petit peperes ont developpés des sytème de diffucion ultipoint assez dinguo
l’enceinte comme concert
Doc incroyable sur Pierre Henry, facteur cheval de la musique conrète
le truc c’est aussi que ca peut devenir vite très dur à l’oreille…en gros sur 100 personnes il y a 6 qui restent dont 1 coincé entre 2 armoires.
Le texte ci-dessus n’engage que son auteur et personnellement je m’y oppose radicalement. à quoi ça sert de survoler « en gros » les choses ? se faire une idée vite fait et donner son avis aussi vite fait… c’est bien pourri comme démarche je trouve…
^
Je ne vous trouve pas assez violent. la violence ne mène à rien.Tu viens de te faire avoir, Paul.
Les apports de la musique concrète (et pas « électroacoustique ») sont très nombreux, fondamentaux, théorisé (par pierre schaffer)
Avant tout, la musique concrète née grâce à l’enregistrement. seul l’enregistrement des sons permet de les étudier, les comprendre, …
1- démocratisation des sons : tous les sons sont dignes d’intérêt, du même intérêt (énorme, non ?)
2- l’écoute réduite : situation d’écoute détachée de la signification des sons. (nécessite un effort). Notre oreille d’animal décode les sons pour notre survie (pour échapper à un prédateur ou pire à une voiture quand on traverse…). sans effort, on ne peut pas apprécier les sons autour de nous. juste on les décode (exemple : la voisine baise…) la situaton d’écoute réduite peut nous permettre d’apprécier les sons pour eux même.
3- la musique concrète, ce n’est pas une musique avec des sons de la vie réelle même si c’est possible (voir point n°1) Ce qu’il faut retenir c’est que c’est la démarche qui est concrète ! le compositeur utilise des sons enregistrés qu’il assemble. il choisit les sons pour eux même puisqu’il peut les écouter ! le contraire de la musique concrète, c’est la musique abstraite : la musique écrite. je serais tenté de dire que glenn gould a eu une vraie démarche concrète dans ses enregistrements (il montait énormément ses enregistrements, choisissant chaque phrase parmis beaucoup de prises) Il montait aussi pour changer de micro, faire un saut dans l’espace, changer de cadrage, puisqu’il enregistrait en multipiste. Pour adapter la prise de son en fonction de la partition. Un vrai cinéma pour l’oreille.
=> alors, faire du cinéma pour l’oreille dans un opéra, faudra peut-être y réfléchir.Yes
en espérant être lisible…
thomas !!
Paul, je
moi aussi je
^
Connaissez-vous les travaux de Piotr Szerpinsczy sur la resonance invertive ?
Ca date mais ca remet bien les choses en perspective..
Veuillez développer. (Sa page wikipédia dit qu’il a travaillé avec Manuel Grotovitch . . .)
avez vous un lien ? introuvable apres une petite recherche…
Oui entre autres mais leur visions se sont averees orthogonales
et aucune synergie reellement constructive n’est ressortie de leur travaux communs.(donc pas beaucoup d’interêt…non?)
Grovovitch a une approche souvent qualifiee de post-chromatique
(meme si cela peut sembler paradoxal lorsqu’on parle acoustique..) (pas du tout) (=>synesthésie de l’école polonaise de l’entre-deux guerres)
Rupture de paradigne, dira plus tard Grotovitch.
grovovitch ou grotovich ? faudrait savoir ! Les transcriptions varient, c’est comme en breton.
ecole polonaise :
« Nos formes sont brutes et simples, ce qui les rapproche du cubisme ;
notre aspiration à remplir la toile de manière homogène nous rapproche du futurisme et notre désir de saisir le mouvement de façon synthétique nous rattache sans doute à l’expressionnisme. [4] »
Yop, du coup une petite remarque sur ce qui a été dit précédemment. Je suis un peu critique sur les styles qui ont été présentés et qui représentent une période très courte de l’histoire de la musique, en gros la crise du classique du début du XXème. J’admire le travail de Schoenberg d’un point de vue des idées mais je dois avouer que cela ne me met pas dans une transe extraordinaire quand j’en écoute (nous sommes d’accord c’est assez daté mais la liste au desssus est faite pour donenr qq references hstoriques. Idem pour le free jazz (bon, ok, sauf Art Blakey). A mon avis, l’apport indéniable de ces compositeurs a aujourd’hui été intégré dans une grande part de la musique et notamment la pop « intelligente », je pense à des groupes comme Massive Attack ou RadioHead ‘c’est très fin de 20eme)qui ont gardé dans une certaine mesure la remise en cause du système tonal dialectique et surtout ont continué à bosser sur la question du son (du timbre en fait..;et oui il y avait encore de la philatélie à l’epoque et pour les 2 groupes pré-cités l’usage du timbre etait souvent à double face! A h les années 90.) comme élément central de la composition. Je renvoie aux similitudes entre Mezzanine, Different Trains et Ok Computer par ex. Tout ça pour dire que si je suis d’accord qu’on puisse démocratiser les sons, on ne le puisse pas forcément sur l’ensemble d’un opéra au risque de noyer le public (après ça dépend ce que l’on cherche…la noyade sonore est l’une des plus douloureuses assez d’accord pour ne pas infliger de dommages auditifs ), et je dois avouer qu’il me semble plus digeste de garder certains aspects traditionnels de la compo sur une partie des morceaux, quitte à en enlever ci et là. Je pense au dubstep qui, s’il garde l’organisation sur des octaves pivots, joue sur des glissandos quasi sériels. Ou à des morceaux purement rythmiques qui du coup n’utilisent pas le système tonal. Ou a des plages modales arythmiques. Plutot qu’un corpus gigantesque qui soit arythmique, atonal et
indigeste.
Ce n’est qu
e mon avis.
(plutôt d’accord sur l’analyse, mettre un peu de pop et d’electro dans Le Flux Enchanté s’impose…)
Musique et Artifcial intelligence
et qui sait on pourrait finir par tomber par simple probabalité sur un tube
Comme l’indique Quartz, cette chanson a été élaborée par un algorithme développé par le Sony Computer Science Laboratory (CSL), basé à Paris. L’ordinateur, appelé Flow Machines, a alors composé la musique en s’inspirant du groupe culte de Liverpool (Royaume-Uni).
assez bluffant meme si un ingénieur du son a reorganisé les pistes
Donc voici une brêve histoire de la musique et quelques influences que nous pourrirons integrer dans l’opera des zero et des uns.
Ah oui idéalement pour que ça soit considéré comme savant la musique doit être ecrite, au meme titre que le texte du livret.
Et si c’est de l’impro total la justification du propos (ce qui devient souvent beaucoup plus long que d’ecrire directement, un peu comme un retard au college qu’il faut justifier toute une année)
un petit brian Eno pour la route
Et les bruitistes?
le futurisme italien fait parti des pionniers du bruitiste (1013)
super morceau ou la voix est utilisée…
tinguely et ses structures en ont été les heritiers
Jamie xx
Michelin.e le/la petoman.e transgenr.e
Vaporwave
- La vaporwave est un genre musical et mouvement artistique3,4 ayant émergé dans les années 2010 des scènes dance indépendantes comme le seapunk, la bounce house (en), la witch house, et le chillwave. La vaporwave est caractérisée par sa nostalgie et sa fascination pour la culture rétro, la technologie, et les pubs des années 1980 et 1990.
ASMR , c’est des gens qui susure des choses dans un enorme micro
muk bang, c’est des gens qui mengent en faisant du bruit
Utiliser les sons du quotidien numerique comme autant de messages clair
« un opéra c’est quoi ? » une opération pourquoi-pas ?
Je me permets de revenir sur l’un des § précédents. Non pas pour jouer les rabat-joie mais pour vous éviter d’être la cible d’une nouvelle forme de terrorisme.
Je me souviens avoir été super énervée par Keren Ann et son acolyte à lunettes lorsqu’ils ont usurpé le mot « opéra » il y a quelques années. Il l’ont utilisé pour se faire un coup de pub alors que leur prod correspondait en fait à une comédie musicale (orchestre symphonique + chanteurs de variété amplifiés). Diva punk, j’ai eu envie de tuer des gens. C’est vrai que le mot « opéra », il est sexy, il fait rêver, on a envie de le déshabiller et de lui faire des trucs sales en le retournant dans tous les sens. Mais l’acception primitive et hyper vaste du terme (« oeuvre en italien ») a depuis longtemps été dépassée par le patrimoine culturel qu’elle a engendré. Dans l’histoire de la musique et même dans l’inconscient collectif aujourd’hui, un opéra c’est du théâtre lyrique : livret + instruments (traditionnels ou pas) + voix lyrique (chantée ou parlée/chantée) + mise en espace (avec ou sans décor/costumes). Si vous enlevez un seul de ces paramètres, vous obtenez autre chose qui d’opéra n’a que le nom.
ce qui en soit est déjà bien, car si meme si il n’en a que le goût il n’en aura pas forcement la pédance
Par exemple, si vous enlevez le chant live, vous êtes dans le genre de la « musique à programme ». Si vous gardez le chant mais pas la technique lyrique, c’est de la comédie musicale. Si vous remplacez le chant préparé par de l’impro, c’est du théâtre musical. Oui, vous pouvez appeler ça « opéra » si ça vous chante.
Ca peut etre chantant de ne pas chanter et de se dire que ce n’est qu’une « operation »
Et si nous trouvons « artistes lyriques qui sacrifient leur vie et se battent au quotidien » dispo pour la representation, voir un choeur ainsi que 50 ceénobites…Personne n’est opposé à l’idée
Toutefois sans notification très explicite annonçant au public que vous utilisez l’acception originelle du terme « opéra » dans une démarche expérimentale, vous crachez symboliquement à la face de tous les artistes lyriques qui sacrifient leur vie et se battent au quotidien pour faire vivre l’une des plus belles formes d’art total du spectacle vivant. (Si vous êtes tentés par le mécénat, contactez-moi par mail. 😉 ) Ah oui ! Et si on me parle d’opéra-rock, je ne réponds plus de rien.
^
Je ne vous trouve pas assez violente.
Pretendre faire un ‘opera’ c’est DETERRER PUIS FOULER AUX PIEDS LES CRANES
DE CHANTEURS LYRIQUES MORTS POUR LEUR ART.
Merci de rectifier. voici :
Se faire violence pour se deterrer les pieds du crane.
Un livre sur l’evolution de nos emotions, donc qui pourrait aussi induire une evolution dans la forme de l’expression de celles-ci.
mais dans le fond et c’est poruquoi les tragedies grecques ou les operas du 17eme focntionnent toujours en tout cas pour beaucoup). c’est qu’il reussissent à toucher le plus petit denominateur communs…ils reussisent à nous faire entrevoir une forme d’universalité…
Dans notre civiisation les seules os visibles sont ceux des saints et leur reliques…
Nous n’ hesitons pas non plus a contruire des villes sur des cimetières (ou des parkings sous terrain du Camposanto)…pour d’autres c’est inenvisageable. (pas simplement un seul zeros et un un unique )
« Toutefois certains semblent présents, sous des configurations très diverses, dans des sociétés très différentes et à des époques très éloignées les unes des autres. C’est le cas des rites funéraires, dans lesquels il est tentant de voir avec Karl Gustav Jung [1964] des « archétypes universels », une infrastructure permanente de l’inconscient collectif, qui, sous des formes diverses, exprimerait toujours les mêmes interrogations sur le devenir de l’homme à partir de son décès. »source https://www.cairn.info/revue-ethnologie-francaise-2007-HS-page-83.htm
Donc oui deterrons les morts, lavons les cranes, et proposons notre jolie petite tombe bien propre aux futurs du possible.
Fabriquons des cranes en papier maché et ecrasons les sur scène
Oui, certes. Ou alors on peut aussi accepter l’idée qu’un débat télé de la primaire de la droite, ou une élection américaine, c’est une sorte d’opéra.(c’est une opera-Tion) (C’est assez violent, d’ailleurs, même si on pourait laisser la violence de côté (merci), ou simplement s’en balancer (la c’est la justice)).
Quoi qu’il en soit, je me demande si, d’opéra, dans cette affaire en cours, la volonté serait une bonne histoire et des tas de moyen esthétiques variés pour arriver aux meilleures fins. Alors si ça ne chante pas en direct avec des femmes aux statures imposantes et des bonshommes à barbiches et aux jeux de jambes qui laissent à désirer, est-ce que ça empêche d’appeler ça un opéra, qui est la forme originale qui a inspiré cette envie d’en faire autre chose ?
Juste je pose la question.
bien sur que non la figure imposées du choeur n’existe pas…Mais d’experience un choeur ca fait toujours un effet incroyable en terme de theatralisation…Peut etre un choeur avec juste un melopé monochorde.
On peut tout reinventer, tout casser sans forccement construire…mais d’un point de vue musical la voix est un joli instrument et très transportable (on ne sait toujours pas ou nous joueront, mais trimbaler sa voix c’est moins dur logistiquement que deplacer un barnum technologique)
le choeur ca peut etre ça aussi
Et quid du space opera ?=> le budget des stations graphiques pour les decors numeriques a été claqué en cacahouetes enrobées gout babeccue
A fond, prendre un peu de hauteur ça fait toujours du bien
Phantom of the Paradise
Proposition de petite synthèse perso que je vous livre à partir de ce que j’ai lu plus haut :
Les personnages de la liste de Bruce Schneier se débattent dans un monde dans lequel la cryptographie est une métaphore de la persévérence à communiquer dans un contexte où ça n’est pas facile tous les jours. Alice et Bob seraient un genre de Roméo et Juliette mais ce ne sont pas les parents qui font obstacle à leur amour (peut etre qu’ils ne desirent pas l’amour au final); ce serait plutôt les bugs d’ordis parce que Mallory ou Oscar (les méchants ou les jaloux) auraient hacké je ne sais quoi (restons sur une trame general pour nos deux amoureux Alice et Bob definissons ce qui les lient les attirent les eloigenent. bien definir la situation (il vivent ou ? ou plutot dans quel espace temps ? vivent-ils dans le meme espace-temps…ca ne serai tpasça la clé de leur probleme de communication…genre univers parallèle)
Au final nous pourrions aussi envisager que ce n’et pas les machines ou les programmes qui posent problemes, mais que les personnage eux aussi avec leurs OS emotionnels « leur caractères » provoquent les rendez-vous raté….genre l’insoutenable legrereté de l’être V2.0
Oh yeah.
Dans la section Romeo et Juliette du Futur Cronenberg à fait un super film Existenz en 1999
regardez à 7min
les personnages assis sur des chaises qui interagissent avec le flux
hallucinant et très proche de nos envie…
dans l’idée Alice et Bob pourraient se rencontrer dans une sorte de reunion dans le genre. des scothcé du reseau qui tente de se reconnecter à leur intimité par la mise en reseau de leur desir le celebre programm TRUST de « Numeric Solidaire Anonyme »
aussi une scene d’amour incroyable à 39min
les amoureux se retrouvent dans leur intimité protége loin des autres…un pur moment de romantisme post-IT….
le propos autour des irrealités numeriques est evident mené avec brio…Mais copiant ce principe nous pourrions faire voyger notre couple d’amoureux dans tout un tas d’unvers pas forcement parallèle mais orthogonaux (comme cité plus haut)
Les univers orthogonaux ? Ils se passent quoi là bas ? La vraie vie elle est où , ici ou dans l’ailleurs de la noosphere ?
Alors Alice et Bob tâchent de se filer des rencards dans la vraie vie en tchatant autant qu’ils le peuvent mais il y a toujours des hics (l’idée du rendez vous raté est excellente, et lors de leur retrouvaile en happy ending le tableau final serait pire car unis s’ennuyeraient et continuerait a ne se parler que par interface).
Ça passe par des phases de phantasmes oulipiens (developpez please ca passe par quoi un phantasme oulipiens) et de délires de contes de fées, hors clavier, dès qu’un des deux personnage se lève de sa chaise. (pour les doutes, la réflexion, les désires, etc . .) alors qu’en position assise, on est purement dans l’action de communiquer mais dès qu’on se lève, ça déclenche des phénomènes tout autres, esthétiquement. Au point de mettre des capteurs sur les chaises pour que les séquences s’enchainent mécaniquement.
l’idée de capteurs pour declencher les scenes de jeux est une très bonne idée….
cette idée de chaise est très bonne
l’immobilisme ca se joue très bien plus et donne une sorte de presence etrange
ref
Tadeush Kantor la classe morte
le mouvement en groupe peut donner cela aussi sans interface juste
Pina baush
Les acteurs chantent ou disent leur texte en même temps qu’ils le tapent. (il faudrait qu’ils tapent le texte intégral alors ça donnerait un rythme particulier à la voix, (Syrri et les systemes de reconnaissance vocale permettent cela très bien, et peut faire l’objet de réponse olipienne si les questions deviennent metaphysiquse ou trop complexes.De plus c’est à verifier mais c’est toujours la meme reponse selon les questions posées, il doit y avoir d’aures système je ne connais que celui-ci… Et permettrait d’illustrer ce conflit de manière simple le dispositif a été bien pensé en californie) Il y a aussi un dispositif en temps réel qui exploite en son ou autre, ce qui a été tapé sur le clavier. Ou interagit avec la voix.
Les deux personnages principaux sont chacun sur leur propre petite estrade à roulettes que les autres personnages peuvent déplacer au gré des besoins de l’intrigue, (ce qui implique une technologie sans fil – et visuelement, ça en jette et c’est magique, sans aucun fils).
Les autres personnages, peuvent aussi agir sur le couple héros avec de la lumière (des petits projos ou lampes torches et des capteurs situés sur chaque estrade mobile peuvent alors déclencher du son ou autre.
Pour élaborer la teneur de leurs échanges, faudrait-il puiser dans certains thèmes contemporains (nous pourrions faire don de manière anonyme de nos plus beau echange textuelle, ce qui donnerait déjà de la moelle pour ecrire les dialoguqes, nous avons tous une petites histoires qui n’a pas marché à cause de notre opératuer téléphonqiue), en tâchant de garder un ton à la fois passionné mais désabusé, donc drôle (ne suuis pas certain que le desabusé (disons blasé, alors) mene au rire mais à tester), puisque potentiellement survolé, un peu à là « Broad City » (série télé une serie de michel denisot).
ex. : j’ai du mal à sortir dans la rue pour aller à ta rencontre parce que ça me fait voir ce monde qui part en vrille – ou –
j’ai peur de croiser mon proprio dans l’escalier alors que je lui dois deux loyers – ou –
je n’arrive pas à quitter des yeux la carto live du vendée globe et en plus, je fais la régatte virtulle et c’est pas de la tarte
mes lapins domestiques ont bouffé toutes mes chaussures et je n’ai pas encore reçu ma commande de La Redoute – ou etc . . .
Il pourraient aussi faire du skype© vidéo et on verrait ce qu’ils envoient aux autres ; il y aurait un truc à jouer : quand ils sont déplacés (sur leurs estrades à roulettes, serait incroyable de pouvoir faire une estrades à roulette telecommandées, les deplacements des acteurs seraient ainsi gerés en une choregraphie automatisée un peu comme des pions dans Ubu Roi) alors ça change de fond, à l’image skype®, mais c’est bien sûr généré, puisque sur la scène, en réel, il n’y a pas ces décors-là, seulement du mapping. => ça permet donc un travail de décors à plusieurs niveaux, tout ça pour servir l’histoire, évidemment.good
Ça finit qu’ils en arrivent à se dire qu’il n’y a de vraie vie que derrière son clavier, parce que la réalité de la rue est trop cruelle (otaku, auto enferment super idée) ; déjà que sur le web, c’est pas toujours drôle. => Ça finirait donc en tragédie, là, mais est-ce ce qu’on veut ?
En imaginant que ca commence par 2 personnes qui sur scene sont penchées sur leur portables ou interfaces, avec une incroyable besoin de contact autre que digital donc en pleine recherche de l’autre (a priori une aplli de rencontre).
Leur histoires impossibles à cause des bugs des elements extérieurs et aussi de leur incapacité propre à rencontrer l’autre (leur doute, leur situation dans la vraie qui empeche leur histoires….qui feront les rebondissements faisant avancer la narration
Et si l’un de spersonnages la femme ou l’homme n’etait en fait qu’un bot une remanence systme quelque chose qui n’existe pas dans la vraie vie (ou le niveau qui sera plancher dans notre histoire comme etant la vraie vie) À creuser, certes. Mais faudrait qu’on s’en rende compte sur le tard, alors trouver un moyen pour passer d’une idée à l’autre sans que ce soit gros, ou alors, je jamais montrer l’un des deux (ou seulement sur écran) pour que le doute soit possible tout du long, jusqu’à ce qu’un bug (ou autre chose) fasse découvrir le pot aux roses (au moins à nous, pas forcément au perconnage concerné).
=> En tous cas, dans ce cas de figure, « Le flux enchanté », ça pourrait carrément le faire.
Et glisser un peu de revenu de base dans l’affaire, ça tente quelqu’un ?
cette fameuse blague qui tourne sur Broadway
tu sais comment devenir millionnaire en faisant du théatre ?
reponse :
il faut être milliardaire
un revenu de base à 500 K€ par an (par representation), s’entend. (minimum).
je suis novice en la matiere seculaire, je suis autodidacte et ne sais lire de partition mais je sais que l’opera se caracterise par le livret, forme tres detaillée comprenant texte, didascalie et partition. bref, une chemin tout tracé pour les personnes en charge de jouer dans la piece.
il peut s’agir pour nous non de tenter de faire a notre sauce dans le savoir-faire dictée par les normes etablies, mais de créer notre propre forme repondant a tous les critéres definis par cette forme: un cahier des charges précis permettant aux « jouant » d’etre guidé du debut a la fin.
(très bon résumé d’une démarche qui peut-être super efficace )
pour cela un scenario bien sur, mais surtout de la technologie, par exemple des capteurs (action-reaction), pour remplacer la partition, des outils / instruments créés sur place pour repondre a des questionnements particuliers. (une technique mixte pourrait etre envisageable intégrant une partie « live-capteur mais il induit un travail de mise en scene au moins aussi important que le fait de faire une partition, au moins « un chemin de fer » qui trame l’histoire dans une temporalité scènique)
bref, je veux bien etre de l’aventure avec mes bidouilles.
shoï
voui, de toutes façons, si c’est écrit avec cette volonté-là et que l’usage de la technlologie est pertinent, alors pas besoin de partitions ; un simple conducteur-aide-mémoire pour les répètes puis zou, (comme dans beaucoup de spectacles, d’ailleurs).
Oui enfin le Zou suis pas certain que ca soit aussi facile que ça…Ne minimisons pas la complexité de faire interagir plusieurs humains meme aider de machines
Quelques repetitions seraient bien si nous integrons des humains (figurant, acteur ou danseur) car autant un ordi peut faire ad libitum des lignes de codes…autant pour l’humain c’est toujorus un peu dur de se retrouver sur scene sans savoir ce qu’il doit faire…
Ou alors nous travaillons sur une « Ode au Chaos » et là c’est parfait.
tout du moins au niveau du concept sur le papier
Peut etre que beaucoup de spectacle procedent aisni pour se developper…Mais l pplupart des spectacles auwquels les spectateurs assistent sont ecrits, mis en scene, repétés et interpreté.
Ce n’est pas obligatoire. Mais franchement je pense que c’est souhaitable
Si certains d’netre vous se sentent pour monter sur scene (ou entrer dan le champs si il s’agit d’une representation sans 4eme mur) qu’ils inscrivent leur nom ci dessous (le projet a besoin de performeur et improvosateur de genies totalement decomplexés sur scene)
– Nono le petit Robot
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Mes réflexions après la première réunion
Premierement Elle a permis de se connaitre et de s’impliquer dans le projet en proposant un éventail de pistes et de proposition sur la création d’un Opéra 2.0 (Top)
Puis on a conclu sur une organisation par plus ou moins de grosses commissions sur les themes abordé (un doute sur les comissions,car il y aura un très gros travail pour que les petits bouts de chacun rentrent dans les cases des autres…en gros il faut prevoir les interconnections entre les différents axes de la crééation…essentiel pour un discours construit…il faudrait que des reunions des commisison soit fixées a intervale regulier pour que tous le navire avance dans le meme sens. Peut etre pourrions nous creer d’autres pad selon les commisions et avancer de manière non lineaire)
Mon ressentie est plus que positif, nous somme motivé autour de ce projet fédérateur.
Seule l’organisation me laisse perplexes, je pense que nous devons parler contraintes et finalité :
Nous ne savons pas la base même du projet :
· Le ou les endroits où sera performé l’opéra => contraintes de décors, logistique, implication sur le thème et la forme de l’opéra
· La date de la représentation=> délais et organisation autour de cette date (nous avons avancé le 3 mars, ou la fête des 01) calage d’un agenda et d’autres reunions s’impose…et rapidement le 3 mars c’est dans 4 mois…ca va aller très vite…très très vite
les dates de répétitions aussi sont à prevoir
les dates des differents ateliers voir plusieurs SITAV
une sorte de residence sur une periode ne serait-elle pas interessante le dernier mois voir les 2 derniers mois (en gros se retrouver tous les jours pour ceux qui le pourrotn pour tisser la toile…le credo est parfait pour cela)
· La durée de cette représentation => influe l’écriture, la musique entre 20 et 40 minutes semble realiste…Moins c’est une sonate et plus ca va dependre de notre capacité à nous organiser
· Le budget dispo (une fourchette/rateau serais déjà le bienvenue)
dans un premier temps l’argent n’est pas l’element limitatif…un papier un stylo ou des pads…
on peut aussi se dire que c’est un « Opera de Sans-Sous »
c’est questionnement sont certes importants mais c’est aussi l’ecueil…
pour creer il suffit d’avoir envie
D’ailleurs est ce que ça sera un spectacle gratuit ?
car on pourrait vendre des preventes et aisni trouver un budget sans faire de dossier qui prendront plus d’energie que d’ecriture une partition pour orchestre…
focalisont nous sur la creativité.
Oh diable leurs avarices !!!
Et le fait que les gens payent nous forcera à faire un truc un peu plus construit
avec bien sur la possibilité de se faire rembourser pour tout ceux qui quitteront la salle avant la fin…
Et si nous trouvons du budget il y aura quelques postes lors de la representation qui pourront etre donné à des professionels (ingenieur du son, eclairagiste, roadies, ou solistes)
Ces 4 contraintes définies, nous pourront aborder ce qui est faisable, et ensuite nous fixer sur le « 2.0 » de l’Opéra by Labomedia que ce soit :
sur le fond (Nous avons évoqué de l’art génératif, de l’écriture d’histoire, son thème, des personnages, des structure de contes de fée)
sur la forme (du collaboratif public-acteur, du hors-les-murs etc…, des instruments, des acteurs/chanteurs)
Petit ajout : Je retire (presque) tout ce que j’ai écrit plus haut (bien que ce fut fort chouette).
=> Pourquoi ne pas tout générer à partir de sources disponibles sur le web et dans la nature ?
Le livret serait alors un genre de cahier des charges de ce qu’il faut mettre en oeuvre, c’est à dire qu’il déterminerait les éléments impliqués, les rapports de force qui sont mis en question. Par exemple, l’activité d’un site (comme ça se fait avec wikipedia, générerait des sons ou autre).
Alors on ferait une liste de personnages et chacun serait incarné par une source (nous pourrions imaginer que cette mixture façonne le caractère du personnage et y soit liée (un site, la force du vent, la température, les mouvements et les sons dans la salle, le son dans la rue (exogène)).
Il faudrait alors choisir les sources en fonction de leur valeur symbolique pour que l’histoire ait du sens. Yes
-> exemples idiots juste pour faire piger : On pourrait prendre l’indice du dow jones v/s wikipedia, (qui font une battle de sons et d’images) tout ça sur fond de température extérieure qui envoit une certaine lumière et de température de la salle qui envoi une autre lumière. Autre chose enverrait du vent, autre chose et autre chose, etc . . . En le raccrochant à un personnage qui sera vu sur scene (peut etre un element du decor un ordinateur de 1986, une borne interactive, une lampe qui parle, un flipper qui s’exprime)
Ce serait un opéra qui suit le principe du piano qui joue wikipedia.(c’est génial le piano, nous pourrions uasis le contraire à des gammes ou des patterns et gerer le taux de random..enfin lui donner des « seeds » selon ce que l’on veut rendre comme couleur (les gammes, les ecarts de notes, les patterns et variations) Je ne sais plus quel type avait fait ça je ne sais plus où avec je ne sais quel argent, ça vous dit quelque chose ?
Une dame avait aussi fait un truc comme ça dans un Xul à partir des activités boursières, si je me souviens bien.
e n’est pas exactement ça mais ton idée me fait penser à cela
Peter Ablinger – Voices and Piano
L’argument, finalement, ce serait un certain état du monde, vu d’une certaine façon, à un certain moment, et chacun pourra tirer ses conclusions, chacun verra ce qu’il verra.
Qu’aimerions nous y voir et qu’aimerions nous que les spectateurs y trouvent…
« le tiens vla la melasse et debroulle toi » objectivement je pense que c’est un peu court…
Ce n’est pas non plus une leçon de chose dont il s’agit bien sur…mais « le chacun verra ce qu’il verra » c’est un peu comme si nous partions perdants.
suis persuadé que nous avons des choses interessantes a faire passer et qu’avec un minimun de travail, d’organisation, d’anticpation et de creatitivté, nous pouvons dejà faire passer un très bon moment à ceux qui viendront…
Pour tout spectacle chacun prend ce qu’i veut, et d’experience c’est surtout ce qu’il peut.(ce qui est déjà pas si mal par les temps qui courrent me direz-vous)
un opera fait par des amateurs peut-être audible, emotionnelement riche et esthétiquement abouti…Et justement faire que la forme sans etre mainstream soit suffisament claire pour que à la fin les gens puissent ,à la question « ben alors c’était quoi cet opera ? », repondre autre chose que ‘ben j’ai rien compris, j’me suis cassé en plein milieu tellemnt c’était insupportable »
Pour tirer des conclusions, il faut que le discours soit un minimun construits dans les extraits choisis (en chosissant bien c’est assez facile comme tu l’expliquait). Il faut que c’est principe de création generative soit couplés soit à une mise en scene claire soit un discours audible (ca peut etre 2 phrases repetées sur un disque)
Le chiffre de la dette américaine qu’on trouve en live sur certains sites, tout un tas d’autres statistiques en temps réel qu’on pourrait trouver : presque tout serait bon pour construire comment montrer l’état de notre monde actuel, yo rap.
Peut-être que ce serait compliqué (ou trop balèse à concevoir) de tout faire tenir de cette façon, et que le public ne soit pas totalement largé, mais ça pourrait au moins constituer une bonne part du récit et influencer des personnages réelles, s’il y en a besoin malgré tout.
Et dans ce cas de figure, le titre ‘Le flux enchanté’, ça collerait parfaitement.(claro)
D’opéra, il resterait principalement la volonté narrative, l’engagement de considérer que ces phénomens quantifiables qu’on utiliserait comme sources jouent de véritables rôles dans nos vies : (Yes) ce sont des personnages clés, comme Falstaf ou Othello. Et utiliser le terme « opéra » au lieu de « spectacle multimédia » (qui file la nausée merci) ça n’est pas anodin : c’est pour dire qu’on veut rejouer sur scène la comédie du monde et qu’il va y avoir autant de swing que dans Les noces de Figaro ou La traviatta.
Ça m’est venu comme ça, parce que fanchement, l’opéra, c’est comme le jazz ou la musette, j’aime bien voire beaucoup, mais c’est le passé, alors ça fait plaisir de s’en inspirer, mais au point de vouloir absolument en prendre le maximum, à commencer par le chant et tout, autant remonter directement Così fan tutte . . mais ce ne serait pas la mission de la Labo, à priori.
Super concept…Mais une petie hsitoire et quelques présences humaines si il s’agit toujours du’ne representation peuvent aussi donnent une couche qui peut servir le propos.(Yes, si on n’a pas le choix, si on échoue à parvenir à un spectacle totalement à base d’éléments qu’on ne contrôle pas – et ce ne serait pas déshonorant. Mais dans l’idée, ce serait intéressant de partir avec ça et de n’utiliser les interventions humaines que là où seul l’humain peut réussir), ce qui amènerait un certain sens).(est ce que ce sens sera perceptible à l’ecoute ou faudra-t
ou jouer justement sur ces moments, a quel moment on agit vraiment face à la machine etc etc-
Et pourquoi pas des humains interface d’une hsitoire qu’ils ne controlent pas
genre des casques qui te donnent le texte à dire et tu le dis…ca passe dans un effet ou un traitement et c’est mixé en live
Avec la trame du piano et quelques choix de gammes et de programmation « audible » et simplement des déclamations de texte. Ca donner un resultat très facilement et pas du tout déshonorant meme si de tenter n’est en soit jamais deshonorant.
un truc qui n’a rien à voir par exemple quand vous parlez de codes avec toutes la semantique que vous controlez parfaitemtnt et bien c’est presque une langue à part….de la poesie…et lire du code comme une sorte de messe en latin ou de dramaturgie en bas saxon (car il faut etre honnete on en comprends que le texte que dans les operettes, en tout cas pour ma part ce fut le cas à chaque fois…le texte à l’opera c’est comme un instrument ca depasse clairement la dimension du sens. Il serait facile de mettre en forme du code pour qu’il soit comme un texte d’opera. Enfin avec toute la dimension, on ne va pas vraiment faire un opéra 🙂
Voix de baryton : ‘ Soudoooooooooo apétéééééééhééhééhééhéééé guette, ine stal, ine stal, ine staaaahaaahaaahaaahaaaaaaaaaaal, ine stal, tooooooooooooooooooooor’ . Avec une tierce picarde à la fin pour signifier que l’installation n’a levée aucune erreur.
parfait !!! des incantations dans une langue qui n’existe pas…on dirait le Koaien langue inventé par le groupe Magma et qu’ils utilisent encore aujourd’hui…Assez gutural un peu germanique qui s’adpetent parfaitemtent à leur style (un peu daté certes mais très musique d’un futur fantasmé fin 70 https://www.youtube.com/watch?v=Lo0FxtTceTI))
Possibilié de declamations de code soit par des humaisn soit par des voix de synthèse (il y a une bonne recherche à faire la dessus, la mode est au vocoder dans la Pop du moment, le « Speech » de mac fontionne très bien il suffit de donner un texte et il est lu…le resultat est plutot drole…il y aplusieurs type de voix donc parfait pour nos differents persos )
d’ailleurs vient de tomber sur ça :
des fichiers midi des choeurs de la flute enchanté…
donc du midi c’est du 0 1 La flute enchanté c’est du mozart et Mozart c’est de l’open source enfin son oeuvre est tombé dans le domaine publique (on peut donc les recycler comme on veut)
Avec cette base musicale (ou il n’y pas besoin de lire les notes, il suffit de lancer le midi vers de synthé sampler ou lumieres), un choix d’orchestration (musicale ou bruitiste selon le moment de la pièce) et les textes tirés des diverses sources énnoncées plus haut, nous aurions un très joli mash-up qui constituerait une meta-structure pour « Le flux enchanté »
Si nous considerions cela que le code est une langue (ce qui est acquis) il sera possible de faire un texte qui soit comprehensible par la machine uniquement (le vieux truc de Dave dans 2001 qui parlait humain mais inversé des humaisn qui parlerait machine). Et scenqiuement si un robot un ordi un grammaphone le piano ou ce que l’on trouvera pour jouer le role principal du mechant entre nos 2 tourteraux Alice et Bob et bien nous aurions un debut de truc qui tient la route.
Fichtre, je voulais jouer le méchant. D’ailleurs, remarque : et si pour une fois les machines étaient gentilles et les humains méchants ?
en reflechissant bien les machines restent le fruit de l’assemblage et de la programmation des humains (en tout cas jsuqu’ici…donc pourrait etre interessant de penser notre dramaturgie génrale autour de cela.) elle ne sont ni gentilles ni mechantes simplement alimentée par de ‘electricite
on boucle sur les grandes thématiques de la siences-fiction des années 60.
Bonne précision, étant un affreux spinoziste j’ai tendance à projeter des consciences autonomes aux machines… A noter que dans Dune, les ordinateurs ont été interdits. Et le twist final de la machine qui a finalement acquis la conscience, c’est beaucoup trop mainstream. Fin de la disgression et le problème reste ouvert.
« FLUX ENCHANTE » vs Flute Enchantée
Petit point Flute Enchantée si le nom « FLUX ENCHANTE » est retenu :
« juste car s’y on y fait reference autant en apprendre un peu plus »
Tout le monde connait certainement cet extrait
dans Amadeus de Milos Forman il en est question aussi
La flute enchanté (2H24) 2015
source France Television
source wikipedia
La Flûte enchantée, K. 620, dont le titre original en allemand est Die Zauberflöte, est un singspiel composé par Mozart sur un livret d’Emanuel Schikaneder. (dernier opéra de Mozart; considéré comme son testament musical)
Mozart accepte la proposition que lui fait Schikaneder d’écrire à nouveau un Singspiel à la manière populaire de son théâtre avec des effets spéciaux et de la magie (on aime les SFX), d’autant plus populaire qu’il sera écrit dans une langue intelligible par tous et s’adressera à toutes les classes sociales (AAAAhhhh). La salle de spectacle n’est pourtant pas un théâtre de deuxième ordre, comme on l’a souvent affirmé: elle dispose au contraire d’importantes ressources techniques, qui ont permis les nombreux effets spéciaux et changements de décor qui abondent dans La Flûte enchantée et déterminent sa structure dramaturgique.
Schikaneder avait produit auparavant plusieurs ouvrages à grand succès du même type, en recréant en particulier le personnage comique de Kasperl (de), l’équivalent allemand de Guignol, dont le personnage de Papageno est un nouvel avatar.
(GUIGNOL parfait en période d’election)
Ont inspiré Schikaneder : le Dschinnistan (de), recueil de contes de Christoph Martin Wieland et August Jacob Liebeskind (de) (Lulu ou la Flûte enchantée et Les Garçons judicieux)2 et Thamos, roi d’Égypte, drame de Tobias Philipp von Gebler (de)3.
Nous parlions plus haut de la psychanlyse des contes de Betelheim, la flute enchantée est un conte…serait bien de checker si il apaprait dans le livre
adaptation ciné par Branach
par Bergman en 1975
Une autre
Final opera de Paris
ouverture :
Dans une simplicité à la fois profonde et déjà presque surnaturelle[non neutre], c’est par un enchaînement ascendant de trois accords, entrecoupés de courts silences, que débute son premier volet, joué adagio.
Ces accords rappellent aussi les coups frappés à l’entrée de la loge maçonnique et rendent ainsi manifestes les trois points de la franc-maçonnerie (voir la section Analyse esthétique). En effet, Mozart, qui était franc-maçon, avait décidé de faire l’apologie de cet ordre initiatique, dans une œuvre qui lui est entièrement consacrée4.
Pour le flux enchanté et l’ordre des bits dans le cluster. Pour un recyclage facile de vos chasubles… Et 3 accords c’est parfait non
analyse de la Flute enchantée
La Flûte enchantée, féérie et richesse d’un conte initiatique
« La Flûte enchantée est une œuvre aussi attachante que fascinante parce qu’elle marque le terme d’un aboutissement esthétique en établissant une harmonie entre des éléments apparemment inconciliables. »
>>>>> l’idée d’une harmonie entre des choses inconcialiables…génial
et pour notre histoire d’amour de Alice et Bob
« Les aventures fantastiques d’un prince courageux parti délivrer une belle princesse deviennent un parcours musical où se croisent et s’enrichissent inspirations savante et populaire, féérie et gravité, amour et sagesse, enfance et maturité. «
>>>>> Vendu comme cela on dira du tim burton l’
« Certains n’ont voulu voir qu’un canevas grossier et décousu dans cet enchaînement de péripéties dignes d’un conte pour enfants. Il est vrai que rien ne manque à la féérie de ce livret foisonnant : on y croise un dragon, une Reine de la Nuit, un homme-oiseau resté proche de l’enfance, un méchant et ridicule geôlier, des coups de tonnerre et des animaux ensorcelés par la musique d’une flûte magique. Derrière cette grande inventivité dans le merveilleux, on devine aisément plusieurs niveaux de lecture complémentaires. Sommes-nous dans le divertissement ou dans un ouvrage subtilement codé ? Ce qui distingue d’emblée la Flûte enchantée du conte traditionnel c’est le surprenant retournement qui révèle soudain la véritable nature des personnages qu’on avait d’abord jugés porteurs des valeurs du bien et du mal. «
>>>>>>Dans notre histoire Le retournement (twist) des personnages Bob et Alice qui ne sont pas que les gentils amoureux que nous imaginions (par exemple mais Bob un sexopathe et Alice une dominatrice). Et leur problème de communication ne seraient donc pas simplement liés à des élements exterieurs. Les bugs que l’on imaginaint crées par le reseau ou la machine ou la granrd mechant lou^p ne sont que des default de leur programme emotionnel (leur caractère disent les humains).
BREAKING NEWS Keiichiro Shibuya et l’opera contemporain
Pendant ce temps au Japon, le Yamaguchi Center for Arts and Media par l’intermédiaire de Keiichiro Shibuya propose de repondre à linterrogation « que pourrait être un opéra contemporain. La question est similaire à la notre, leur réponse intègre aussi des flux de donnés (lu par speech voix synthetique des macs), et bien d’autres similitudes
full opera ici
///////////////////////////////Keiichiro Shibuya////////////////////////////////////////
La musique surveillée au theatre du chatelet en 2004
vous verrez que miraculeusement c’est èst proche de nos intentions. Bon il y evidemment un niveau technologique que les berges de Loire connaitront dans 30 ans (dans le meilleur des cas…A moins qu »un turbo-acccelarateur à particule mentale remplace la cheminée de l’usine du 19eme siècle. Mais ca aussi c’est envisageable…)
Similitude :
Musicalement : le piano, les napppes et textures electro (les superpostions, les decalages, les ruptures). Quelqu’un parlait d’integrer des timbres ‘pop » et bien Keiichiro a eu la meme idée…la manière dont le piano est joué avec des clusters dodedaca ou des melopées harmonique est tout à fait bluffant. Au final aucune oppostion pour lui dans l’origine des sources il les integreet en fait un megamix très poetique.
Opera MAsh-Up à la japonaise…Nous parlions de collage un peu plus haut, et bien lui fait de l’orgami…c’est aussi une technique avec du papier mais on ne voit pas les coutures.
Personnages : 3D projetés sur ecran, il bougent il parlent il chantent (avec une sorte d’effet K-Pop vocodés ). Tres jeux video et manga certes mais c’est assez joli (et donc ouvert à unpublic large j’imagine un gamin(e) de 10 ans en train de regarder
Esthétique : faites de glitch, de lasagnes auditives ou visuelle(le multitrack avec des disours et des tempi differents qui donne un rendu plutot orgnanique)
Narration : de ce que l’on peut voir elle passe par les personnages et leur texte, mais formellement au fina le decoupage est proche de celui d’un film. En tou cas s’en rapproche de manière assez dingue.
Il doit y avoir dans sa pièce beaucoup de moments ou l’impro ou plutot l’interpretation peut exister…mais l’histoire est mise sur les rails deu 25I par images.
autre ppint de vue sur l’Opera le MIT (bon c’est moins funky que le Japon )
c’est d’ailleurs assez drole Tod Machover impossible de trouver son oeuvre toale en ligne, par contre 100 itw…et des extraits pas très parlants.
Malgré les moyens enorme du MIT (on aime le cocnert de robot) le résultat fait penser à 2001 (l homme face à la machine mais sans le genie de Kubrick ) et dans la forme musical c’est hyper relou comme les pires moemtns de compilations d’opera disponible sur autoroute.
le parfait contre exemple de l’opera contemporain… chiant à mourrir et pas drole du tout. A la diffrence de l’approche de notre camarade japonais bien plus enfantin et ludique.
le truc que vous noterez c’est qu’il expose des les première minutes la problematique avec un simple objet le robot qui semble vivre (très proche de notre idée)
cette extrait ci est plus convainquant et assez proche lorsque les personnages apparaissent sur scene de l’idée de personnages mus par des roulettes
En regardant cet splendeur, une reponse m’est venu ? Repondant à notre interrogation de savoir si on pouvait eclaté les formes de l’opera.
En fait en regardant la pièce de Keiichiro, il est certain que les Opera du 18eme avec leur decor hallucinant, leur personnages qui joeunt un texte ou le chantent (melant sens et esthetique), les rebondissements dramaturgique et autres clifhanger…
Ces mecs à la pointe que furent Mozart ou Verdi, associant au milieu du 17eme n’auraient du son de l’image et une hsistoire…N’ont ils pas été les pionniers de ce quel’on apellera plus tard le Cinéma
de nos jours qu’auraient ils bien pu faire ? Un film, Un jeu video, Un combat de drones parlants ?
En fait j’en suis quasiment certain….que gérer notre temporalité comme celle d’un film peut etre une solution pour que nous puissions integrer de manière structuré les elements heteroclyto que nosu deciderons d’integrer dans la pièce…Le TCi comme chef d’orchestre
Vous me direz ca fait un peu cine mix, mais si en plus de ce dispoitif nous reussissons à faire intervenir quelques humains des vrais sur la « scene » »(nos « heros » ou anti heros » les choeurs les personnages à roulette en mode Bauhaus et le fantome en drone (sorte de deux ex machina…)
Bref il y a enormement de futurs possibles pour notre opéra, mais la clé plus que le budget et la repartition des roles, c’est d’experimenter rapidement et de manière intensive.(d’ou l’interet de creer laboratoire d’experimentation). Tester les différentes recette de lasagnes numeriques et essayer d’associer dans differents odre els sources que nous deciderons d utiliser…. Une sorte de puzzle monochrome à 20 000 pièces
Pour tester les possibilites de notre puzzle, Il nous faut une sorte d’atelier coincoin (qui sera parfait pour la lutherie, les decors) mais avec des synthés plutot que des perceuses, un banc de montage, voir un mini studio de prise de vue fond vert (on peut faire de l’inscrut de nos acteurs, jouer justement de la possibilité que nous avons d’neregistrer les choses à l’avance, Verdi l’aurait certainement fait, la partition n’est qu’une proto-forme de programmation), un projecteur pour tester les programmtions visuelles generatives….
En preparant un maximun nous pourrions ainsi laisser aller le chaos inherent à toute representation, lorsque l’Opéra sera joué ; il y aurait tourjours le chemin de fer visuel qui permettra de structurer notre recit…Un peu comme une bouée temporelle, la musique peut aussi faire reference c’est souvent le cas dans l’opera, mais comme nous ne lisons pas tous les partitions, les repaires visuels pourraient aussi très bien fonctionner ( les musiciens au tempo, les visuels à l image, la synchronisation des machines par midi)
Au final dans la vie pas besoin de planter de « graines » dans nos programmes de randomisation, nos emotions font le job (pas forcement Steve de son prenom d’ailleurs)…
Et si les personages etait comme des pantomines, des mimes qui bougerait selon les textes balancés par le dispositif…Il apparaitrit comme phantomatique, avec pour seul moyen de communication les prothèses communicationnelles que peuvent être un telephone, un interface plugge directement à l’humain en mode Cronenberg (https://www.youtube.com/watch?v=a_kHXnPk0X0)
Alice et Bob eux pourraient bien entendu interpreter leur role sur scene, mais tous les autres n’auraient pas la parole (il piurraient etre muets, sous des soutanes, et avec des masques, La secte des Crypstos zombies technologiques ayant choisis le silence pour survivre et conitnuer a celeberer leur religion digital. pour rentrer dans le groupe ces humains s’encodent et doivent manger la clé de leur code lors de leur bapteme (lancement de l’algorithme de cryptage) les condamnant à devenir muets et invisibles avec les humains, mais hyper prolixes quand il s’agit de langage machine : la figure de l’OTAKU ou du Nerds en psychodecompensation). c’est un peu à la K Dick mais why not ?
“Reality is that which, when you stop believing in it, doesn’t go away.”
Philip K. Dick, I Hope I Shall Arrive Soon
Puisque l’opera se passe dans un univers hyper-controlé un brin dystopique, que tous les humains sont dans le dialogue securisé et crypté pour éviter toute fuite vers d’autre groupes ou individus (ennemis ou se proteger des sorcières ) …on peut aisement imaginer que les autres habitants de cet univers font la meme choses : ils cachent leur emotions derriere des cryptos donc que ca devient du non-echange, l’incommunicabilité … La securité à outrance entraine une forme de repli sur soi (on le trouve illustrer dans le programme de nombreux politique sous une forme ancienne d’isolationnsime, fermeture des frotnières…). Simplement autorisés au silence ou condamnés à marmoner de ligne de codes incomprehensibles,comme perdu dans le flux, voila la punition, pour tout ceux qui voudraient franchir ce « Nid ‘amour » entrer en contact avec les tourteraux, perchés sur un algorythme qui les protègent de tout sauf d’eux même.
Et la nous sommes au coeur d’un truc super humain…et pas simplement un pamphlet anti-consortium de quelques esthètes du code, bien au chaud sous un cocotier californien persuadés que le bien de l’humanité passera par le suprématisme informatique et une augmentation de l’humain pour optimiser son chaos emotionnel. Et ainsi le laisser captif de sa propre preception du monde.
Communication cassé…404 Emotionnel…Deni of Sensuality… Deni de sensibilité…we are the robots…After All human….ill communication
“Cyberspace. A consensual hallucination experienced daily by billions of legitimate operators, in every nation, by children being taught mathematical concepts… A graphic representation of data abstracted from banks of every computer in the human system. Unthinkable complexity. Lines of light ranged in the nonspace of the mind, clusters and constellations of data. Like city lights, receding…”
― William Gibson, Neuromancer
22 novembre
REMINDER
Hologrammes
et c’est le premier lien trouver…faire big semble un peu compliqué…
quoiqu’il arrive il faudrait savoir de combien de sources de diff (ou en inventer) nous
pourrions trouver (projecteurs numerique ou analogique, diapo ou proto…
bref optique 2001
Costumes ou robots ou drone avec les « id code* » (un mec faisait des trucs avec des poupées et des logos en noir et blecn qui ressemblait à des logos isssus du Bauhaus 2.0 ).
Les « idcode* » permettront de detecter des mouvements X Y
et de rotation et peuvent etre pluggé sur tout ce que l’on veut dans visuel ou son ou…
* Id code n’est pas le non mais c’est une sorte de logo avec des points blancs et noirs
si quelqu’un a la réponse :
_
Le drone couvert d’un costume de fantome semble avoir trouvé une ame soeur…
si quelqu’un a la réponse :
– Avec deux led infra rouges il serait possible de faire des sorte d’interaction
si quelqu’un a la réponse :
-Mais dejà un fantome qui apparait c’est incroyabe si plusieurs on a le final Nolywoodien
Ceci n’est pas une pub…Mais c’est ce que fait la concurrence 🙂
making ouf 🙂
Combien de drones nous pourrions trouver ??
ou jouer avec des leds dans le decor
si voler est trop compliqué
il est possibe de grimper
24 novembre
Oeuvre contemporaine revisitée
Chloé et Vassilena Serafimova jouent Steve Reich dans la collection
VARIATIONS
– N’oubliez pas de voter pour le nom du chaton.
d’ailleurs nous pourrions utiliser cette appli pour commencer à faire
des »proto »choix sur les noms les axes ennoncés.
Un super moyen d’avancer en délinearisé.
différentes options partagée à l’oral (Et ce processus de vote
Breaking NEWS
un film qui va sortir (bientot la ou il a été fait)
creative control
Et mettre des drones sur scene sans trop de pb pour le public…
a la fois si il y a le systeme d’holograhie il y a un filet un ecran ….
Comment ca marche avec les « id trucs » ? Les mettre sur les costumes ?
les placer sur l’avant des persos et sur leur epaule dans
une sorte de proto « Motion capture ».
(pas trouvé la version Fr désolé)
si quelqu’un a la réponse :
lors d’un jour…il y avait eu une sorte de borne qui derivait l’information…genre un truc pas proprietaire maic captif…Ben tu en parlais tellement bien.
– Comme Alice et Bob s’aiment…il y a un moment ca s’impose…
lea prise de sang…
sur scene un biologiste en blouse avec un microscpe (
role à pourvoir…muet ou borgdime)…
peut etre une peite cne de scienist et protocole plus ou moins bec-bezen
en vide…l(s)e microscope(s) equipé(s) d’une caméra avec un vrai truc qui bouge
(mais qui bouge vraiment…enfin bon…un peu quand meême…
si ca marche pas on fait comme si avec de spriss de vue pre enregistrées)
Une idée prendre des options SFX organiques de manière générale
Registre holographique (vu plus haut)
illusions optique
et la réunion Chatons de 20h30 : Mais comment faire entrer les passants