12h28, samedi 21 juillet.
Temps agréable : 25° au soleil, sensation thermique dans la salle de l’Esad : 22° avec une petite brise qui passe entre les orteils.
Peu de survivants, ce matin, mais les quelques personnes présentes sont plutôt fraiches et dispoes.
Diane interprète ça à une accoutumance à la fameuse Poire d’Olivet®.
Le lendemain du premier soir, une sensation de besoin de décès immédiate s’éveille avec vous, et quelques jours plus tard, l’organisme a compris que ce poison était gérable et envoi au cerveau une info comme quoi la continuation de vie est envisageable.
Hier, je n’étais pas là et regardais un téléfilm d’Arte sur un suicide collectif organisé dans une sècte en Suisse puis un documentaire et concert de Prince.
J’ai donc évité la poire et pensé à Olivier B.
Ma présence n’a rien d’héroïque contrairement à Diane qui à peine arrivée s’est lancée dans PureData et son contrôleur en carton.
Antoine qui risque de ne pas être présent au Bitdedieu de ce soir m’a présenté ce qu’il aurait dit à l’assemblée si l’organisation temporelle de sa vie lui avait permise.
L’éolienne produite aux OAVL de cette année est en réalité un support à vocation éducative.
Cette éolienne basée sur une roue de vélo, une voile amovible, des supports à aimants/bobines découpés à la CNC. Bien sûr, elle produit un peu de courant mais c’est avant tout pour proposer une formation standard à des fabLabs et autres ateliers.
Les images qui suivent ont été prises au bitdedieu, mais à 19h09, je donnais le bain à un enfant de presque 2 ans loin du c01n. Elles restent donc plutôt énigmatiques.
Des 0 et des 1 sur un cahier + des câbles à vocation musicale/sonore
Le bras potelet de notre administratrice et des pièces de tissus verts
Une chemise au motif de bandanas derrière un ordinateur trans-portable de l’armée iranienne.
Sans doute le lecteur de Karaoké 8Bit que guillaume à acheté sur Ebay et testé en condition de combat réel sur une plage du débarquement de St Nazaire : sable+embruns+soleil+alcool = plaisir jusqu’au bout des batteries.
Des câbles, une Arduino, un oscilloscope…
Sans doute l’atelier hachage de tension de Maxime.
Tout est dit dans l’image
Énigmatique…
Double clavier, chaise stylée… ça peut être Serge qui présente un truc en Blender ou en Python3.
Énigmatique
On reconnaît le sticker j’aime Belfort de l’ordi de Benjamin
On reconnaît nettement Julia qui a enfilé sa cape d’invisibilité.
Sans doute un projet sous AbbletonLive®.
Ça, ça sent le retour de Summerlab® à plein nez.
Des micros enrobés d’une matière imperméable pour faire des prises de sons subaquatiques.
Sans doute une présentation de Lolotte et Guigui.
Pendant ce temps aux Openateliersversionlongue.
– Benjamin a installé Ibniz sur l’ordi de Rémi grace à un depot Debian tout fait.
– Cécile et Anne n’ont pas été jusqu’au clash et on résolu leur différent sur le traitement Automatique du Langage (TAL) VS l’appréciation qualitative d’un texte.
Le point de consensus s’est trouvé sur le moment de présentation officielle du projet : d’abord, elles bossent en sous marin sur la partie TAL puis s’attaquent au traitement qualitatif des contenus, puis empacktent le tout dans un plugin’;
– Lydie finalise sa robe verte.
– Aurélia et Christophe tiennent quelque chose et vont pousser la chansonnette au Bitdedieu de ce soir.
– Serge transfère les pages de l’ancien Wiki vers le nouveau Wiki tout en emportant les fichiers extérieurs au Wiki. galères de clefs, dizaines d’heures de moulinage, mais victoire au bout du pied.
– Olivier M (celui du CCCOM) a suivi le conseil de Nico et change les mots de passe de ses boites;
– Ségo se lance dans le chimie organique pour mieux comprendre les liens entre Chlorophylle et Sang.
– Guillaume répare son ordinateur-transportable-de-l-armée-iranienne qui en réalité n’a pas vraiment survécu à ses nuits nazariènnes.
– Mme Filipi abandonne son projet de liberation de son Mac grace à Ubuntu 16.04 car rien ne fonctionne. Ni en 32 Bit, ni en 64. Elle s’est plutot concentrée sur le jardinage des bacs végétalisés du c01n et va tenter de poser des valves de vélo sur ses extincteurs percutés dans l’idée de les remettre sous pression et ainsi repeindre la ville aux couleurs de la Labomedia.
Ce soir, on ne mange pas.
Ainsi, on économise les soucis de vaisselle.