Cette semaine une certaine Kristella qui bosse chez « Force Marketing » ou bien «world shopping.fr» m’a écrit. Ça m’a fait plaisir, ce titre de mail et j’ai voulu partager ce plaisir avec vous.
Je suis venu aux open ateliers car j’ai reçu aussi un mail du professeur biscotte qui m’a appris que les hyperliens ont failli être interdits par le gouvernement de la France.
Hier, j’ai reçu aussi un mail de Vianney L dont un hyperlien me dirigeait vers une vidéo.
Le prix qui y était discerné m’a forcément ému, le thème m’a rappelé le concours auquel une partie de openatelierois ont participé.
Et le mode autoplaytothenextvideo de Youtube a ajouté une couche de drôlerie et d’internationalimse à cette supercherie.
Plus proche de nous, Gaziel est venu imprimer quelques cadeaux d’anniversaire.
Pour une certaine …
Guillaume a continué sa recherche technico-musicale en cassant de petits composants électroniques à la recherche de «l’origine du son»
Sa quête s’est concentrée dans la profanation du fameux « digisound f/dg06ps/llf10.e ».
Après avoir bien bien nettoyé les cassures
Il en a extrait une pièce d’argent qui arborait un étrange sigle bleu proche d’une ligne.
Et là : BINGO : au milieu de la matrice, se dressait fièrement un totem enroulé de cuivre : L’ORIGINE DU SON
Très vite, l’équipe des openateliers (OA) déballe tout le matériel nécessaire traçage via satellite dans le but d’inscrire sur une carte le lieu de fabrication du SON
L’écran (appelé FLATRON chez nos collègues de la CIA) lance automatiquement le logiciel de déchiffrement : Proce55ing (ou Harduino), on ne voit pas bien sur l’image.
A la surprise de tous, le Flatron délivre sur son «dépose_minute®» une réplique de ce que Gaziel avait commencé a imprimer en debut d’OA ainsi qu’un marqueur et un fil bleu rappelant de façon troublante le sigle cabalistique découvert sur la pièce d’argent du digisoundf/dg06ps/llf10.e.
C’est la panique : les ingénieurs collent vite des brins de titane sur de la gaze médicale et sortent de la crypte de le 108 le e-grimoire que personne ne voulait voir sortir de sa retraite avant sa propre retraite.
Comme les textes le préconisent : les ingénieurs de la Labomedia insolent la tranche à la première source d’énergie provenant d’Helium en fusion qu’ils ont sous la main.
Imaginez le mélange d’anxiété et d’espérance à ce moment.
Il est 18h68 et dans une minute, il sera peut être trop tard. 
Rien ne se passe.
Rien de visible en tout cas.
Le monde semble continuer son train-train sans se rendre compte que la boite de Pandore a été ouverte et qu’à partir de maintenant, rien ne sera pareil.
Alors, l’équipe de aaar.fr va écouter une jeune fille en chemisier blanc et col bleu parler de ventriloquie, la bande de jeune va au frac écouter des mathématiciens chiliens parler de mathématiques, et Guillaume reprend son banjo pour tenter de mettre un peu de joie et de vie dans l’atelier du c01n resté muet, encore sous le choc.
On observe du c01n de l’œil la création du Flatron.
On la compare à celle imprimée par Gaziel pour Jenny.On tente de brancher le digisoundf/dg06ps/llf10.e. sur une plancheapain en la rapprochant des corde du banjo et en mettant le tout sous tension.
Très vite, on cable des arduinos avec double moteur.
On dessine des hérons qui se reflètent dans des Iphones
Mais le cœur n’y est pas
19h21, les portes du théâtre s’ouvrent et la convention de ventriloques peut commencer.
On compile quelques noyaux et on en extrait du jus jaune et noir qui coule dans l’écran.
On pense biensur à Pitou de Codelab dans ces moments là.
on se prend en selfie de groupe dans l’ecran Rétina®
On continue de brancher des câbles pour conjurer le sort !
On créé des champs magnétiques,
On rêve encore d’argent facile comme si tout ça avait encore un sens
Et on continue à câbler, à câbler.
câbler tout ce qui était cablable….pour oublier, pour tenter de continuer à vivre comme avant.
Comme dans les films américains, tout fini en chanson :
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